PROFESSION : Uni-uni-versité! Et accessoirement souffre douleur des mangemorts
INFLUENCE : 7
ARRIVEE : 27/04/2015
HIBOUX : 276
Phoebe Fitzgerald
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: sorcier de sang pur
Les sorciers, c'est pas truqué! (With Gabriel)
Lun 4 Mai - 20:30
Les sorciers, c'est pas truqué !
Gabriel & Phoebe
Balayer, balayer, toujours balayer. Je crois bien qu'on pourrait me décerner le prix de la meilleure balayeuse de l'année si le prix existait (et pourvu qu'il existe un jour, histoire que je gagne quelque chose dans ma vie en dehors du quidditch, parce que ma vie, elle n'est pas très glorieuse, je suis le genre de personne normale, condamnée à balayer sans ne jamais l'avoir désiré) ! J'étais cloîtrée dans une sorte de petite église, sans personne dedans. C'est fou tous les tas de poussière que je trouve ici, comme si le ménage n'existait pas dans la religion. Je sais pas mais sérieusement, personne ne s'est dit une fois "Allez les gars, jour de ménage du printemps on y va!" ? Non, bah non, ce serait bien trop facile, mieux vaut entasser tous les moutons qui étaient déjà au sol en rajoutant des plus jeunes. Et qui allait nettoyer ce chantier avec ses jolies mimines? Phoebe Fitzgeral bien sûr! Je dis ça, comme si cela pouvait encore m'étonner alors que pas du tout, j'avais l'habitude, j'étais entraînée à surmonter tout ça! Je retroussai mes manches comme si j'allais abattre une vache et pris entre mes mains le manche du balai. J'étais déterminée à tout nettoyer du sol au plafond (ouais enfin, du sol jusqu'à là où ma petite taille me permettait d'atteindre). Je m'avançais, la machine à la main et la remuait dans tous les sens dans un coin, avant d'éternuer je ne sais combien de fois à cause de la poussière qui flottait dans l'air. Je passais entre les bancs, vers la porte, je frottais, je frottais, je frottais! Séance frottage aujourd'hui. Saleté de mangemorts! A cause d'eux j'étais reléguée au nettoyage, mais en plus de cela je savais que dans quelques jours ils viendraient tout détruire. Tant d'efforts partis en miettes avant que cela n'arrive. Je soupirai bruyamment et continuai d'astiquer. J'avoue que je me sentais légèrement fatiguée, je devais y être depuis deux heures au moins. Je regardai ma montre et constatai que finalement, je n'y étais que depuis une demie heure. Ok, le ménage ça passe aussi vite que la minute du micro-onde! Je grommelais entre mes dents avant de m'asseoir sur un banc de l'église pour reprendre quelques forces. Je nouais mes cheveux en une queue de cheval faite approximativement et fermais les yeux l'espace de quelques instants. J'étais fatiguée et en plus, j'avais chaud! Quelle journée de merde. Si j'osais sortir de l'église sans l'avoir nettoyé de bas en haut je risquais la mort. C'est que Voldy, il rigole pas quoi.. Je sortis ma baguette magique de ma poche pour m'entraîner sur quelques sorts pas bien méchants (même si j'avais voulu qu'ils soient méchants, je n'en avais pas réellement les capacités). Qu'est-ce que c'était déjà le sort pour sceller une porte? Collaporta? Non pas sûre..Ah oui je sais!
CRAC BADABOUM !
Non seulement ce n'était pas la bonne formule magique mais je n'avais même pas visé le bon endroit. Ma baguette dévia sur un vase et logiquement le cassa vu le sort. Mais bon sang? Quand est-ce que ma poisse allait s'arrêter non de non!
« MEEEEEEEEEEERDE! Mais tuez moi putain..»
Clairement j'étais blasée d'avoir encore échoué. Je pris les bouts du pauvre vase pour les jeter et ramassais la terre qui se trouvait à l'intérieur. Je me mis de la terre sur mon front ce qui me fit sombrer dans une déprime. Je m'allongeai par terre tel un vieux tapis et je pris la position de l'étoile de mer, sans bouger. Finalement c'était bien par terre, ça m'évitait de faire des conneries.
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: moldu
Re: Les sorciers, c'est pas truqué! (With Gabriel)
Dim 7 Juin - 21:20
Debout fainéant, au boulot ! .
Phoebe φ Gabriel.
Qui dit jour de repos, dit grasse matinée. Et qui dit grasse matinée, dit bonheur. Oui, enfin presque. Du moins, pas aujourd'hui. Il est presque neuf heures et demie du matin. Le téléphone sonne. Je grogne dans mon sommeil, et me tourne. J'ouvre les yeux et attrape ce foutu portable, prêt à envoyer mon interlocuteur balader ! Je décroche.
« Oui, Allô ?! » Et merde, mon patron. Mon cerveau n'est pas encore réveillé et je ne saisis pas bien toutes les informations. Seulement quelques mots.
Jour de repose reporté- Église à nettoyer- Aider je sais pas qui, une fille il me semble. Mais la seule information que j'ai réellement bien comprit c'est « jour de repos reporté ! »... Mais non ! Injustice !
Je grogne de nouveau. Je raccroche, ferme les yeux quelques instants avant de prendre mon courage à demain et de m'extirper de mon lit avec le plus grand mal du monde. Je m'habille avec ce que je trouve sur la chaise. Les vêtements d'hier. Ça fera amplement l'affaire. Je me fais couler un café, le bois rapidement et je pars donc direction... Quoi déjà ? Ah oui ! Une église. Et tout ça, de mauvaise humeur.
Une église ? Mais d'ailleurs, y a pas des gens qui sont employés spécialement pour nettoyer ce genre d'endroit ? Habituellement, je suis envoyé dans les toilettes publiques, musées ou autres... Mais jamais dans les église. Je soupire. Au bout d'une trentaine de minutes de marche, j'arrive enfin au lieu prévu. Je gravis les quelques marches et enfin arrive à la porte d'entrée. Je la pousse doucement, et la traître, elle grince ! Je râle. J'entre.
« Heu, bonjour... Il y a quelqu'un ? ». Personne ?
Je m'enfonce un peu plus dans le bâtiment, traînant les pieds, absolument pas motivé pour travailler.
« J'étais de repos bordel ! Et en plus, pour une fois qu'ils annoncent du beau temps... » dis-je tout bas. C'est seulement une fois arrivé en haut de l'allée que je remarque une fille allongée par-terre, le visage noircit par de la terre. Je m'approche lentement, sans bruit.
« Heu, salut... Mon patron m'a envoyé t'aider... ». Haussant les épaules, je me contente de fixer la fille. « Et en plus, faut que je coltine quelqu'un...super ! » grommelais-je. Dix heures du matin, dans une église, avec une inconnue étalée au sol, c'est la situation la plus risible au monde.
« Bon, plus vite on commence, plus vite on termine. On commence par quoi ? ». Je n'ai pas vraiment envie de passer ma journée dans cette église avec cette fille que je ne connais ni d'Adam, ni d'Eve. Oh seigneur, mais qu'ais-je fait pour mériter ça ? Quel humour que tu as là mon p'tit Gabi !Tu pourrais devenir clown ! Ouppps pardon c'est vrai tu en as une peur bleue. Je toise ma nouvelle collègue de travail du jour, attendant sa réponse.
Mais surtout, je rêve de mon appartement. De mon salon. De ma chambre. Et surtout, surtout, de mon lit.
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