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JOKER
A. Lux Ó Cearnaigh
ÂGE DU PERSONNAGE : 25 ans

PROFESSION : doctorante & pianiste

INFLUENCE : 26

ARRIVEE : 01/02/2015

HIBOUX : 1904





A. Lux Ó Cearnaigh

Feuille de personnage
ANECDOTES SUR MA PERSONNE :
MON AVIS SUR LA SITUATION :
ORIGINE : moldu

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3. Les groupes - une nouvelle famille

Jeu 2 Avr - 9:38
Les classes de personnages
Insanity runs in my family. It practically gallops.

The Wizards
« Nous sommes ce que vous ne serez jamais, nous sommes votre plus grand fantasme. Hélas, nous ne sommes que des humains dotés d’un sang merveilleux, sans lequel nous ne pourrions plus vous faire rêver… Vous pensez tout savoir de nous, parce que vous avez tout lu de nous. Mais vous vous trompez. Nous ne vivons ni dans l’or, ni dans le mysticisme. Le vendredi soir après le boulot, nous allons boire un verre, deux verres, trois verres… Et souvent, le samedi matin, nous avons oublié combien de verres exactement nous avons bu. Nous aimons taguer les murs du bout de nos baguettes, faire disparaître vos objets fétiches, vous murmurer à l’oreille et vous faire croire que vous possédez le don d’entendre les morts. En réalité, nous sommes là, parmi vous. Nous sommes vos voisins, vos amis, vos patrons, vos conquêtes d’un soir –ou plutôt, vous êtes nos conquêtes. Nous vous influençons, vous êtes fascinés, mais après tout, vous pensez que tout ceci n’existe qu’à la télé… D’ailleurs, sachez que nous aussi, nous regardons la télé. Nous avons des téléphones portables. Des machines à café (mais pas Senseo, nous ne sommes pas censés faire de publicité pour des marques, vous comprenez). Alors oui, nous savons faire de la magie ; nous réparons nos lunettes d’un mot, nos faisons venir à nous le rouleau de papier toilette d’un coup de baguette lorsqu’il a roulé loin de nous, nous embellissons le monde que vous contemplez chaque jour. Mais cessez de voir en nous de vulgaires magiciens, nous ne sommes ni idéalisables ni immortels. Nous mentons, trichons, volons, abusons, jouons. Parfois à vos dépens, souvent dans l’ombre de votre imaginaire, toujours sous votre nez. Oubliez donc tous les clichés, les chapeaux pointus et les écharpes rayées ! Il est temps pour vous de nous connaître… Et d’ouvrir les yeux sur la réalité. »

Les sorciers représentent plus d’un dixième de la population mondiale, d’après de récentes estimations. Depuis que l’information concernant leur réelle existence a été lâchée, ils sont de plus en plus nombreux à se recenser et à faire parler d’eux. Mais avec l’annonce de leur présence parmi les moldus est arrivé le vent de la corruption et de la débauche, qui a toujours soufflé sur les mœurs sorcières. Sur ce point, tous les sorciers ne partagent pas le même avis ; la décadence qui s’abat sur le monde magique ne fait pas baver tout le monde et il y a fort à parier pour que certains sorciers tentent de rétablir un climat plus propice à l’idéalisation et à la rêverie.

les hédonistes
Fervents amateurs de luxe, de plaisir et d’abus multiples, ces sorciers ont pour habitude de surfer sur toute vague de nouveauté sociale susceptible de leur apporter encore plus d’argent, de jouissance ou d’amusement. Loin de désapprouver la perversion et la luxure devenues de plus en plus courante, ils en jouent et y trouvent parfaitement leur compte. Ce sont des individus souvent centrés sur eux-mêmes et avides de reconnaissance. La plupart d’entre eux sont de grands admirateurs de Voldemort et de son œuvre, mais ils sont hélas trop peu influents ou courageux pour entrer dans les rangs des Mangemorts. Cela ne les empêche pas d’encourager la décadence et de l’aimer sans avoir honte de l’exposer aux moldus. Ils vivent leur vie sans guère se soucier de celle des autres, qu’ils soient sorciers ou moldus, et tirent profit de toutes les situations possibles. Toutefois, certains d’entre eux parviennent encore à adopter un comportement décent en public –comprenez par-là qu’ils ne prennent pas forcément un malin plaisir à exposer leur débauche aux yeux innocents des moldus. Volages, insatiables et éhontés, les hédonistes n’ont pas leur langue dans leur poche et sont souvent les premiers à colporter les ragots et à se gausser de la condition des moldus (et de leur effarement face à ce mode magique qu’ils pensaient bien plus divin et différent du leur).
les anonymes
S’ils n’en sont pas à raser les murs pour se faire discrets aux yeux des moldus, la réalité n’en est pas loin. Ils n’ont pas forcément honte de ce qu’ils sont ou de ce qu’ils vivent, mais si cela pouvait juste rester un petit peu secret, hein… Ca les arrangerait bien. La plupart des anonymes se moquent pas mal de ce qui se passe dans les rangs sorciers et le fait que les moldus soient au courant de leur existence ne change pas leur vie. D’ailleurs, bien avant que les non-sorciers ne soient informés, les anonymes avaient tendance à rechercher leur compagnie en se faisant discrets. Ils n’assument pas tous le mode de vie vulgaire et ostentatoire de certains de leurs congénères, mais ils n’iront pas non plus leur faire la morale ou les pointer du doigt en place publique. Non, eux, ils incarnent la classe moyenne et un brin je m’en-foutiste des sorciers ; tant qu’on ne vient pas déranger spécifiquement leur petit train-train, il n’y a pas de raison pour qu’ils s’intéressent à ce qu’il se passe autour d’eux. D’ailleurs, la grande majorité de la population sorcière s’inscrit dans cette philosophie. Ils préfèrent laisser le Ministère de la Magie régler les problèmes de racaille et de décadence pour se concentrer sur ce qu’ils vont cuisiner en rentrant du travail. Finalement, ils ne sont pas si différents de vous et moi, n’est-ce pas ?
les mystificateurs
S’il y a bien quelque chose qui leur tient à cœur, c’est la réputation. Ils sont pour beaucoup très attachés aux valeurs sorcières et déplorent leur disparition sous l’influence de plus en plus étouffante des Mangemorts. A vrai dire, les mystificateurs sont pour beaucoup dans la parution des livres de J. K. Rowling ; entretenir le mythe et l’admiration chez les moldus, voilà qui leur met du baume au cœur. Ils sont catastrophés de l’image sombre de leur société et veulent à tout prix instaurer plus d’éducation aux sorciers, afin qu’ils incarnent les idéaux dépeints par leur complice écrivain. Toutefois, ils sont plutôt satisfaits de voir enfin les moldus au courant de leur existence ; être interpellés dans la rue, admirés et presque vénérés, il n’y a rien de plus savoureux pour eux. Ce sont pour une grande partie les descendants de riches familles sorcières et leur place au Ministère de la Magie n’est plus à faire. Par ailleurs, ils sont responsables de l’ouverture de l’académie magique aux moldus et comptent bien là-dessus pour redorer un peu leur portrait aux yeux des profanes (soulignons également le fait que pour chaque bouquin d’Harry Potter vendu, ils touchent un petit bénéfice… C’est plutôt dans leur intérêt de continuer à vendre du rêve).

The Deatheaters
« Vos malheurs, vos soucis, vos ennemis… Ils sont tous incarnés en nous. Nous sommes les monstres sous vos lits, les épouvantails dans vos placards, les peurs injustifiées qui vous habitent parfois. Il est tellement facile de jouer avec vous ! Naïfs, vous nous idéalisez en tant que sorciers sans même savoir que nous sommes les seuls maîtres de vos destins. Nous trouvons notre plaisir dans la destruction de vos espoirs, dans la confiance que vous nous portez en espérant que la magie embellira un peu votre monde bien rangé. En réalité, nous sommes l’ombre qui vous entoure et nous sommes le chaos. L’obsession, la fascination. Nous vous tourmentons depuis des années, nous faisons passer pour vos amis pour mieux écraser tout ce qui vous tient à cœur. Jamais vous ne serez aussi puissants que nous, votre existence n’est rien. Privés de magie, vous n’êtes que des pantins que nous manipulons sans désir d’arrêter. Nous avons construit un monde meilleur, un monde de sortilèges, de plaisir et d’abus. Quiconque s’opposera à nous verra son nom inscrit en lettres de feu à la longue liste de nos victimes. Nous ne tuons pas, nous torturons. Et nous aimons vous entendre nous supplier de continuer, parce que c’est en vous ; vous êtes accros, fous de nous, et vous donnerez sans résister tout ce que l’on vous volera. Mais sachez-le, vous n’êtes pas les seuls à vivre dans le tourment et la perversion ; nos semblables sont les premiers visés, mais ils resteront toujours plus intelligents que vous… Et bien moins drôles à manipuler. Souriez, vous êtes filmés. »

Les Mangemorts, dirigés par le célèbre Lord Voldemort, incarnent un réseau de mafia sorcière redoutée par certains et adulée par d’autres. Responsables de la corruption grandissante du monde magique, ils sont de plus en plus nombreux à gonfler les rangs du mage noir pour profiter des bienfaits apportés par la débauche et la facilité. Néanmoins, ne devient pas un Mangemort qui le souhaite. La sélection est rude et chaque nouvelle recrue est spécifiquement approuvée par Voldemort. Les Mangemorts sont des sorciers discrets, doués pour se travestir, se créer des rôles et se rendre absolument indétectables. Ils se fondent dans la masse des sorciers et des moldus pour mieux abuser de leurs victimes et les arnaquer. Violents, menteurs, tricheurs, pervers et imbus d’eux-mêmes, leur organisation est sans faille et ils sèment panique et confusion sur leur chemin. Leurs ennemis préférés ? Les moldus. A leurs yeux, ils ne sont que de la vermine… Et la vermine, on l’écrase.

les embaumeurs
Ils représentent la grande majorité des Mangemorts. Sans distinction particulière au sein de la mafia sorcière, ils font ce qu’on leur demande de faire sans poser trop de questions – après tout, tant qu’ils s’amusent, que demander de plus ? Leurs activités préférées restent de loin l’arnaque et la menace. Toujours prêts à tendre un piège à un moldu pour le faire pâlir, ils travaillent en étroite association avec les Détraqueurs et les recrutent pour hanter les nuits de leurs victimes. Toutefois, leurs cibles s’étalent aussi parmi les sorciers ; la corruption est facile, et bien qu’ils ne choisissent pas qui sera digne ou non d’intégrer les rangs de Voldemort, ils ne se privent pas de semer la graine de la zizanie partout où ils passent. Charmeurs et sûrs d’eux, la séduction et l’art du mensonge sont leurs armes les plus redoutables. Certains en font d’ailleurs leur spécialité afin d’attirer les moldus naïfs ou les sorciers un peu trop ambitieux dans leurs filets. Chaque embaumeur dispose de sa propre façon d’entourlouper ses victimes et de propager la philosophie du mage noir. Cette caste de Mangemorts se compose de sorciers suffisamment malins pour ne jamais manquer d’idées (il faut varier les plaisirs), quelle que soit leur origine sanguine. Toutefois, les sorciers de sang mêlés ou né-moldus doivent faire leur preuve de façon bien plus assidue que les autres pour être acceptés chez les Embaumeurs.
les marionnettes
Devenus Mangemorts contre leur gré, ils n’ont guère eu d’autre choix que de servir Voldemort et de partager ses convictions –ou du moins de le feindre. La plupart des marionnettes ne sont pas impliquées dans les magouilles douteuses des Mangemorts, se contentant des basses œuvres et assurant le divertissement de leurs congénères. Certains de ces sorciers ont intégré les rangs du mage noir parce que leur famille en faisait partie, cela ne leur laissant aucune marge de décision. D’autres ont attiré l’œil de Voldemort par leurs capacités uniques, qu’elles soient magiques, physiques ou morales ; dans de telles circonstances, refuser le rang de Mangemort serait équivalent à signer leur arrêt de mort… Ou celui des êtres qui leur sont chers. Les marionnettes peuvent toutefois s’élever au rang d’Embaumeur avec le temps et beaucoup d’esprit. Certaines rumeurs prétendent d’ailleurs que des moldus et cracmols complètent les rangs de cette caste de Mangemorts, mais eux-seuls pourraient valider ou non ces dires. Bien souvent esclaves de leurs supérieurs, tourmentés et suppliciés, ces sorciers n’ont que légèrement plus de valeur aux yeux de Voldemort que les moldus… Parce qu’avouons-le, ils peuvent toujours s’avérer utiles pour tendre des pièges, récurer les toilettes ou chauffer les lits. Si certaines marionnettes sont heureuses de leur sort et font preuve d’ambition, d’autres sont complètement révoltées et n’aspirent qu’à la mutinerie… Il risque d’y avoir du bruit dans l’ombre.
les cerbères
Tous sorciers de sang pur, les cerbères sont également issus de grandes familles sorcières qui ont de tout temps prêté allégeance à Voldemort. Ils constituent l’élite des Mangemorts et par conséquent, leur nombre est assez réduit et se cantonne à une poignée de sorciers. Loin d’être tous aussi malins que le mage noir, ils sont toutefois gonflés par la gloire et ceci leur monte à la tête ; il faut dire que leur assemblée, présidée par Lord Voldemort en personne, est celle qui décide de toutes les actions de la mafia sorcière. Toute nouvelle recrue chez les Mangemorts passe devant la commission des cerbères, qui sont alors libres de tester le candidat selon les méthodes de leur choix –et elles ne sont pas toujours franchement légales. Ce sont eux qui orchestrent les différentes réjouissances imputées aux Mangemorts, dans l’éternel souci de plaire à leur maître et de conserver leur place bien au chaud et au-dessus de tout le monde. Ils répandent à grandes traînées de poudre la décadence et la débauche dans le monde magique et chaque âme sorcière corrompue les encourage dans leur quête. Ils ne manquent pas d’ambition ; certains rêvent de renverser Voldemort pour prendre sa place tandis que d’autres complotent dans l’ombre pour évincer les cerbères un peu trop désireux de se faire mousser. Tous les Mangemorts les connaissent et les respectent comme s’ils étaient des extensions du mage noir lui-même. Comme quoi, posséder un grand nom et un sang pur ouvre des portes et non des moindres.

The Muggles
« Nous n’avons rien à dire que vous ne connaissiez pas déjà. Êtres humains, coincés dans l’éternel métro-boulot-dodo, nous n’avons de réalité que celle dans laquelle nous évoluons chaque jour. Il y a la vie et il y a les rêves, l’imaginaire ; les histoires que l’on se raconte avant de dormir, les bouquins que l’on dévore dans les transports en commun, les films du samedi soir. Pour la majorité d’entre nous, la magie n’existe pas. N’existait pas. Oh, oui, nous sommes un petit nombre à toujours avoir secrètement espéré qu’il existe une once d’enchantement sur Terre, mais je crois que nous n’avons jamais osé l’exprimer de vive voix. Et finalement, ils existent. Ils sont là, parmi nous, et ils ont toujours été là. Nous avons été leurs pions, les alliés, leurs amants, et tout ça sans même nous en douter… Nous nous sentons trahis et abusés, mais nous sommes fascinés et excités à l’idée de découvrir ce monde qui, jusqu’à présent, n’existait que dans les confins de notre imagination. Ils ont été nos héros, ils sont aujourd’hui tangibles et incarnent notre modèle. Cela dit, il semblerait que tout ce que nous avions lu sur eux ne reflète que de loin ce qu’est leur vie… Mais qu’importe, nous nous laissons aspirer par ce monde de magie et fête et nous ne comptons pas en rester là. »

Les moldus comme vous et moi arpentent notre charmante planète depuis des millénaires, sans savoir que les sorciers ont toujours été parmi eux. Ils ont longtemps vécu en autarcie, convaincus de l’impossibilité d’une existence magique (du moins, pour la plupart). Tout ce qu’ils savaient des sorciers ou des créatures fantastiques, ils le piochaient dans leurs livres, dans les histoires racontées au coin du feu ou dans les films. Ils se sont arraché les livres de la célèbre saga de J. K. Rowling et c’est à travers celle-ci qu’ils se sont imaginé les sorciers… Sans savoir que la vie dépeinte par l’auteur n’avait pas grand chose à voir avec le monde bien réel des sorciers et leur mode de vie, et que tout ceci n’était destiné qu’à une chose : susciter passion, admiration et envie chez les moldus à l’égard des sorciers qui n’avaient pas l’intention de sortir de l’ombre, préférant être adulés comme des créatures mytiques. Mais depuis que les moldus savent qu’on leur a toujours menti et que la magie existe, qu’elle est à deux pas et peut-être même chez leurs amis, la tranquillité vacille. Les moldus veulent tout savoir et en finir avec le mensonge ; il est temps pour eux de découvrir le vrai visage des sorciers et de s’en accommoder… Car il est bien loin du portrait dressé par les rêveries d’antan.

les utopiques
Convaincus depuis toujours de l’existence de forces surnaturelles, ces moldus n’ont pas attendu les livres de J. K. Rowling pour imaginer la présence de sorciers dans leur monde. Très observateurs et désireux de montrer à leurs congénères qu’ils ont raison quant à leurs croyances, ce sont les moldus les plus difficiles à entourlouper. Certains d’entre eux ont déjà démasqué des sorciers mais évidemment, personne n’a jamais voulu les croire. Depuis que l’existence de la magie a été révélée, ils étudient sans relâche le monde sorcier et en deviendraient presque fanatiques. La plupart d’entre eux rêve de s’approprier un brin de pouvoir pour le simple bonheur d’être comme leurs idoles. Leur imaginaire très développé va parfois bien au-delà de la réalité de ce qu’ils vivent ; après tout, si les sorciers existent, pourquoi les monstres sous le lit seraient-ils purement fictifs ? Ils ne peuvent s’empêcher de se glorifier, d’avoir été les pionniers d’une certaine façon ; ils ont tenté d’avertir le reste des moldus de la présence de sorciers, mais personne n’a jamais voulu les croire. A présent, les utopiques se retrouvent fortement sollicités par les autres non-sorciers : tout le monde se les imagine mieux informés sur le sujet magique, et ce n’est absolument pas pour leur déplaire… Surtout quand cela attire sur eux l’attention des sorciers et leur permet de les côtoyer d’un peu plus près.
les réfractaires
De nature sceptique, les réfractaires ont toujours eu du mal à croire en ce qu’ils ne peuvent pas voir ou comprendre. Par conséquent, ils se sont toujours montrés moqueurs face aux moldus croyant en des forces mystiques ou en une quelconque magie. Ce sont des moldus un brin sensibles dès qu’on évoque la magie ; depuis qu’ils savent que les sorciers existent, ils vivent dans le déni, la peur ou l’indifférence la plus totale. Certains réfractaires se braquent complètement et refusent catégoriquement d’admettre l’existence des sorciers, même si on les abreuve de preuves et qu’on fait voler un chat sous leur nez. Ils se réfugient dans la religion, la science ou toute autre forme de réflexion et de croyance leur permettant de rationaliser ce qu’ils voient. Et d’autres se terrent chez eux, paniqués à l’idée de croiser un sorcier qui ferait voler leurs vêtements en pleine rue ou qui transformerait leur bière en plomb. Toutefois, la majorité des réfractaires ne se soucie absolument pas de ce que trament les sorciers ou les moldus qui sont devenus leurs amis ; après tout, s’ils ont toujours été là, en quoi leur soudaine véracité changerait la face du monde ?
les jokers
S’il y a quelque chose qui les place au-dessus des autres moldus, c’est leur intelligence. Et surtout, leur haine pour les sorciers. Il faut dire que pour la plupart, la magie a toujours représenté quelque chose de parfait et d’intouchable. Ils ont rêvé des sorciers, les ont idéalisés, et ont finalement appris que rien de tout ce qu’on leur avait raconté n’était réel. Et, pire que tout, les sorciers n’incarnent en rien les valeurs morales et merveilleuses que les jokers attendaient tant… Déçus, abusés et de plus en plus conscients de la perversion qui règne dans le monde sorcier, ils sont bien décidés à en tirer profit et à rendre la monnaie de leur pièce à ceux qui ont pendant trop longtemps joué avec leur imaginaire et leur naïveté. Les jokers miment les Mangemorts sans le savoir en piégeant les sorciers et les wizzggles, en leur faisant croire qu’ils débordent d’admiration pour eux et qu’ils rêvent de gagner leur amitié pour mieux les trahir ensuite. Dans les rues de Londres s’organise un commerce illégal d’objets sorciers en tout genre, que les jokers volent à leurs proies et revendent aux moldus les plus avides de magie. Ils savent bien qu’ils ne pourront pas se débarrasser des sorciers, mais ils entendent bien leur prouver qu’ils ne sont en rien inférieurs à eux et qu’ils valent d’ailleurs bien plus que de vulgaires pantins sur des balais volants.

The Wizzggles
« Nous n’appartenons ni à votre monde, ni au leur. Nous sommes nés parmi vous, mais aujourd’hui, il semblerait que nous soyons plus proches d’eux que vous ne le pensez. La magie ne coule pas dans nos veines, nous n’avons jamais appris à l’aimer ou même à la connaître. Nous étions comme vous, de bons moldus vivant dans leur univers terre-à-terre. Et puis la bombe a explosé, et les sorciers invisibles sont devenus ceux que l’on pointe du doigt dans la rue par respect, crainte ou haine. Nous avons découvert ce que bon nombre d’entre vous rêvent encore de découvrir. La magie n’est pas que dans le sang, elle est aussi dans le cœur et dans l’esprit. Nous pouvons la dompter, nous pouvons l’amadouer pour qu’elle s’offre à nous. Evidemment, nous sommes loin de savoir la maîtriser ; tout ceci n’est qu’un bégaiement dans l’histoire sorcière, mais c’est peut-être aussi le début d’une nouvelle ère. Celle des moldus magiques, des Wizzggles, comme vous nous appelez. Et comme ils nous appellent aussi. Et pourtant, pour la totalité d’entre nous, tout cela n’est qu’un accident. Nous n’avons jamais demandé à endosser ce masque, même si nous en avons parfois rêvé, tout comme vous. Rejetés ou aimés, nous ne savons pas encore quelle est notre place. Mais nous la trouverons, et peut-être que nous rendrons votre vie meilleure… »

Les wizzggles ne sont pas une espèce très bien décrite. Aux dernières nouvelles, il semblerait qu’ils aillent aux toilettes, qu’ils aient besoin de nourriture pour vivre et qu’ils galèrent à payer leurs factures (eux aussi). Toutefois, ils ne sont plus vraiment des moldus en raison de leur découverte accidentelle de la magie ; trop peu expérimentés pour être largués en pleine nature avec des pouvoirs incontrôlables, ils sont donc envoyés d’office à l’université sorcière de Londres pour y apprendre les sorts mineurs en compagnie de sorciers expérimentés. Ceci ne ravit pas tout le monde, mais l’ouverture de l’université aux wizzggles a été décidée par le Ministère de la Magie, alors il n’est pas aisé de discuter. Ces apprentis-sorciers n’ont donc pas une position de rêve au sein de la communauté, tant moldue que magique. Ils n’aspirent pas tous aux mêmes objectifs, si bien que les rivalités se font rapidement sentir et qu’ils participent sans le vouloir à l’élargissement du fossé séparant moldus et sorciers alors que leur but était tout autre.

les pacificateurs
Ils vivent très bien l’acquisition récente de la magie et comptent d’ailleurs sur celle-ci pour faire des merveilles. En réalité, ils pensent qu’ils vont pouvoir sauver le monde du chaos et mettre un terme aux agissements sombres des Mangemorts. Ils se considèrent comme les nouveaux héros, au risque de se mettre les moldus à dos (parce qu’ils deviennent trop égocentriques) et de rendre les sorciers encore plus méfiants (si on leur retire leurs petits plaisirs, comment feront-ils ?). Les pacificateurs étudient avec beaucoup d’assiduité à l’université et sont avides d’en apprendre toujours plus sur la magie. Ils vouent un respect énorme aux sorciers et ont toujours trouvé la magie fascinante, même dans les livres. Toutefois, la magie « mécanique » accordée aux wizzggles n’atteindra jamais la puissance de celle des sorciers, au grand damne des moldus magiques. Ils se sentent un peu béni des dieux et ont tendance à oublier d’où ils viennent, quitte à se considérer comme des petits sorciers. Beaucoup de pacificateurs sont des cracmols, trop heureux de pouvoir enfin avoir accès à la magie dont ils ont été injustement délestés dès leur naissance. Ils veulent absolument utiliser la magie pour faire le bien, sans penser au fait que prendre la grosse tête n’est pas forcément ce qu’il y a de meilleur pour prêcher la bonne parole.
les mutins
Leur accorder une once de magie n’était vraiment pas la meilleure idée. Mais comme tout accident, cela ne tombe pas forcément sur les bonnes personnes… Les mutins étaient de base des moldus au caractère trempé et aux ambitions présomptueuses. Être les meilleurs, les plus riches, les plus célèbres, les plus beaux, bref, ils se sont toujours considérés au-dessus de tout le monde. Devenir des wizzggles n’a fait qu’accentuer leur désir de pouvoir et de reconnaissance. Franchement, détrôner les sorciers… Pourquoi pas ? C’est leur objectif. Ils ont l’espoir et l’intention de s’imposer en nouveaux maîtres, y compris sur les Mangemorts dont ils viennent gonfler les rangs dans le plus grand secret. Par volonté de se joindre aux sorciers glauque ou par désir de les écraser, eux seuls le savent. Quoi qu’il en soit, ils sont souvent vu en mauvaise compagnie et prennent un malin plaisir à s’adonner à la débauche propagée par Voldemort. Ils ne considèrent plus vraiment les moldus ; ils appartiennent à leur ancienne vie, à leur vie inutile et insignifiante. Ils ne sont pas forcément les élèves les plus assidus mais font preuve d’un talent inné pour la magie moldue, ce qui a tendance à exaspérer les sorciers qui, malgré eux, commencent à se sentir menacés par l’arrivée de cette nouvelle génération. Il leur fallait déjà supporter les bassesses des Mangemorts, et voici que l’on rajoute des oiseaux rares au zoo sorcier… Une merveille.
les funambules
Pour eux, la magie est à double-tranchant. Ils ne savent pas sur quel pied danser et ont l’impression de marcher sur des œufs dès que leur nouveau statut de wizzggle anime une conversation. Si certains sont tout bonnement effrayés de se découvrir des pouvoirs, d’autres n’en ont que faire ou ne comptent pas les exploiter. Tous les funambules n’étaient pas forcément de grands adeptes du fantastique lorsque les livres de J. K. Rowling ont fait le buzz, alors imaginez maintenant… Véritable malédiction pour les esprits les plus sensibles, la magie n’a pas fait le bonheur de tous les apprentis-sorciers. Certains d’entre eux se terrent, paniqués à l’idée d’utiliser la magie par mégarde, et d’autres vivent sous les moqueries ou l’éloignement de leurs proches. Ignorer leurs nouveaux pouvoirs peut également être une bonne solution : quelques moldus, et surtout les jokers, seraient prêts à tout pour exploiter le filon wizzggle. Dissimuler sa magie est parfois l’unique façon pour un funambule de conserver son travail, son statut social ou tout simplement sa routine. Quoi qu’il en soit, leur condition ne les rend pas heureux et ils donneraient tout pour redevenir de bons vieux moldus, à lire les aventures d’Harry Potter devant la cheminée.

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