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Ven 10 Avr - 19:04
bellérophon sol dröan
fort est celui qui abat
mais plus fort celui qui se relève

Personnage inventé   Scénario (nom du créateur)
wanna know

who i really am ?
my face is matthias schoenaerts
Nom - Il y a deux hommes Dröan en ville, l'un est si psychotique qu'il serait bon de l'enfermer dans un asile psychiatrique, même à Azkaban, il se croirait sur La Croisière s'amuse. Et l'autre, il ne vaut pas mieux. Ouais, tu vaux pas mieux, vieux chnoque. Mais tu es plus respecté, allez savoir pourquoi. Personne sait vraiment d'où vient cette famille, elle donne l'impression de sortir de nul part pour envahir vos plates-bandes avec ce petit côté qui fait penser qu'ils ont toujours été là, à vous épiez.
Prénom(s) - Ton premier est Bellérophon, ton second, Sol. Non, je peux vous le dire tout de suite, la mère du gamin était pas fan de mythologie. A vrai dire, elle savait même pas ce que c'était, et encore moins qui est réellement Bellérophon. Elle a dû voir ça dans une pub et a trouvé ça joli. Cependant, même si il n'y a rien de magique derrière l'attribution d'un tel prénom, ça te colle bien à la peau, le chnoque. Ça te va bien, ouais. Le héros qui se ne laisse jamais abattre par ses ennemis, qui se relève toujours. A part que t'es pas un héros. Mais t'es une machine de guerre, ça ouais. Bon, pour Sol, oui, ça a un rapport avec la note de musique. Réciter les notes de musique était comme une thérapie de relaxation, pour ta mère, et quand tu as vu le jour, elle les criait une à une pour se donner du courage. Et t'as sorti ta tronche quand elle a crié Sol. Voilà, l'histoire. Magique, hein ? Rien à foutre.
Âge - T'as trente-quatre années de labeur derrière toi. Et tu les portes plutôt bien. Et même si tu es un vrai vieux chnoque bien puant, tu restes un beau gars dans la trentaine, p'tit coquin !
Naissance - Tu connais pas ta date de naissance, ni même où tu es né. T'as jamais vu la tête de tes vrais papiers, ça fait déjà plusieurs dizaines d'années que tu vis avec des faux. D'autant que tu t'en souviennes, tu as toujours vécu à Londres. Mais tu te demandes si tu ne viens pas de Belgique ou d'un truc comme ça. Mais c'est pas ton père qui va t'en parler. Ni même qui va te souhaiter un joyeux anniversaire, ni toi, ça t'intéresse pas, du coup, tu dis ta date de naissance qui est sur tes faux papiers, le deux décembre.
Condition - T'es un de ces fichus wizzgle, ouais ! Rah, non mais merde, t'en veux pas, de ce truc. En plus de ça, pour couronner le tout, t'es pas très doué.
Particularité - Tu es atteint de cette maladie un peu étrange, la syllogomanie. Ça veut dire, que tu es incapable de jeter quoi que ce soit, et en plus de ça, tu es cleptomane et tu ramasses tout ce que tu trouves. Tu ne peux pas t'en empêcher, c'est plus fort que toi. C'est un vrai bazar chez toi, les objets s'entassent et il y a des pièces où ne peut même pas marcher. Mais tu sais exactement à quel endroit est « rangé » tel objet, ce qui fait que si tu te rends compte que quelqu'un a jeté quelque chose dans ton dos, tu pètes littéralement un câble, et tu peux faire toutes les déchetteries de la ville pour retrouver ton bien. On ne sait jamais, un slip en toile de jute ou un bol en forme de citrouille, ça peut toujours servir. Oui, même cette statue personnifiée d'une truie en tutu rose et dansant peut servir.
Classe sociale - Tu pourrais vivre de façon particulièrement aisée, oh oui. Si tu n'étais pas aussi radin. Tu  ne dépenses que dans le strict nécessaire, et sinon, tu mets tout de côté. Tu es la poule aux œufs d'or de ta banque, alors que tes fringues sont troués, que tu ne manges que deux repas par jour et tu n'offres jamais rien à personne. Et le pire, c'est que tu gagnes merveilleusement bien ta vie.
Sexualité - Tu as toujours cru que tu aimais autant les hommes que les femmes, lors de ta jeunesse, tu passais d'un partenaire à une partenaire sans plus te poser de question. Seulement, depuis ce que t'as fait subir ton père en rapport à cette femme qui est maintenant soit disant tienne, tu ne peux t'empêcher de jouer avec le feu avec les hommes seulement. Les femmes te rebutent, et les hommes t'échauffent, ils représentent le danger, l'interdit.
Statut - Tu es marié depuis presque dix ans maintenant,et presque autant d'années que tu n'as pas touché à une femme. La belle s'appelle Rose, et elle a faillit te donner un enfant. C'est bien dommage, puisque ce môme aurait été la seule chose qui t'aurait peut-être permis de t'impliquer dans ce mariage forcé par ton père.
Emploi, études - Tu diriges le DDD, très peu connu pour son nom entier du Drop Dead Dancer, une des boîtes de nuit les plus branchées de Londres, et les plus délabrées. Oh oui, c'est loin d'être le lieu le plus respecté de la ville, la licence d'alcool mériterait d'être remise à jour, et il faudrait sûrement fouiner derrière le bar, sous les tables, et dans les manches de certains clients. Pour les plus minutieux, le DDD, c'est surtout le premier D. Le Drop, le lieu où tu fais ton petit trafique en tout genre. La foule est ta plus belle excuse à tous ces échanges. Tu règnes d'une main de maître là-dedans, et l'organisation est ton mot d'ordre, à toi, le boss sadique et perfectionniste.  


   
london & me, the story
T'as aucune idée de comment t'as débarqué à la base à Londres, tu ne penses d'ailleurs même pas y être né, mais tu n'as aucun souvenir d'une période avant celle Londonienne. Tu imagines souvent ton père, ivre, ta mère te serrant dans tes bras, dans une galère digne d'un autre siècle, traversant la manche, affamés et frigorifiés au fond d'une cale (Peut-être qu'ils ont simplement pris l'Eurostar, sinon). T'es pas le genre de personne qui a un avis sur beaucoup de choses, alors la ville où tu vis, tu t'en fiches, du moment qu'elle t'apporte ce dont tu as besoin. Bien sûr, tu pourrais facilement te retrouver dans une autre ville, mais tout se passe assez bien jusqu'ici à Londres, alors pourquoi en changer ? Enfin, tout se passe bien, c'est un bien grand mot, quand assumeras-tu le fait que ta vie est dirigée par ton père et que tu ne le supportes plus ?
   

   
i've got a feeling
Ta condition de wizzggle, pour l'instant, tant que tu n'acceptes pas la grosse daube de ta vie qui te poursuit depuis que tu es né (ton père), eh bien, tu penses que c'est la pire chose qui te soit arrivée. Après, c'est vrai que ça a ses bons côtés, parce que la magie, et surtout tous les objets qui s'y rapportent, voient leurs prix montés en flèches depuis peu, et ton petit business de trafiquant magouilleur, c'est parfait pour arrondir tes fins de mois, ou surtout la rondeur de tes comptes en banque. Cependant, tu renies en tout point ta propre condition d'être magique ou peu importe ce truc au fond de toi. Un pied dans chaque plat, mon ami. T'es un funambule, et pas très bon équilibriste qui plus est. T'as pas cru à ses histoires de sorciers quand c'est paru dans les journaux, c'est seulement quand tu as été toi-même touché que tu as été obligé de t'y plier. Tu évites le plus possible la magie, tu ne t'encombres que du strict nécessaire en rapport avec ton porte monnaie, alors les Mangemorts, tu leur dis bonjour au revoir messieurs à jamais.
   
   

your secrets are safe
   
- Si il y a bien un truc qui te fait flipper, c'est qu'on te court après. Tu détestes tout simplement ça, tu ne peux pas t'arrêter de courir tant qu'on te court après. Si jamais quelqu'un décide de te poursuivre, tu vas courir jusqu'à ce qu'il se soit arrêter (et tu as une très bonne détente, et tu es très endurant) et tu vas faire demi-tour pour lui casser la gueule. Oui, ça arrive parfois que quelqu'un te court après parce que tu as fait tomber ton bonnet, mais non, tu vas te mettre à courir toi aussi de peur que cette personne ne te rattrape.
- Tu détestes les oiseaux. Ouais, tous ces machins à plumes qui claquent du bec, très peu pour toi. Et pourtant, t'es pas gâté à Londres, avec tous ces pigeons qui grouillent partout. Tu pourrais les faire tous rôtir et les manger jusqu'à ce qu'il n'en reste plus un seul ! Le pire, c'est quand ils volent à ras, là, qu'ils te passent au dessus de la tête, tu piques une crise. Parfois, tu changes de trottoir et tu baisses les yeux devant eux. D'autres fois, tu leur donnes des coups de pieds avant de t'enfuir en courant. Le pire, ça a été la fois où ce cygne, au parc, s'est mis à te poursuivre. Ça a été le pompon.
- Tu adores les trucs à bulles. Tout, je dis bien, TOUT, ce qui fait des bulles te fascine. Et le pire, c'est les bulles de savon, là, avec le manche qu'on trempe dans le savon et qu'ensuite on souffle dessus, ça te rend dingue, tu en as toujours avec toi et tu en fais quand tu es tout seul (Tu es d'ailleurs particulièrement doué). Mais après, ça peut être les bulles dans ton bain, ou les boissons avec des bulles. Voyons bulles, pensons bulles, respirons bulles, telle devrait être ta devise.
- Tu es très mauvais dès que cela concerne la magie, oh oui, très mauvais. Un vrai cancre. Déjà que tu es obligé de prendre des cours avec un prof qui t'a été désigné (eh oui, tu n'es plus en âge d'aller à l'université), et que tu lui poses un lapin quasiment à chaque fois, mais en plus, tu détestes tout simplement ça. La plupart du temps, tu n'écoutes même pas ce qu'il te dit, et quand il te demande d'agiter ta baguette comme un simple demeuré, bah tu le fais en soufflant. Non mais t'as pu l'âge pour ce genre de conneries, déjà que quand tu avais l'âge, ce n'était pas réellement une partie de plaisir, surtout pour tes professeurs. Tu passes pour un pur autiste, mais tu t'en fiches. En dehors de ces cours sur le tas, quand tu ne poses pas un lapin, tu fais comme si la magie et cette baguette ridicule que tu gardes tout de même dans ton sac, n'existent pas.
- Tu es obsédé par tes cheveux. Si ils ne prennent pas le placement exact que tu souhaites leur attribuer, tu les punis par l'enfilage immédiat du bonnet, et donc l’aplatissement exécrable que cela entraîne. Tu es cependant capable de les idolâtrer si ils t'obéissent et se placent correctement. Leur longueur est réglée au millimètre près, que ce soit sur les côtés rasés ou la mèche qui te tombe devant les yeux, tel le bad boy que tu penses être, et tu es yeah baby. Tu prends toujours plusieurs pauses d'une quinzaine de minutes dans la journée pour aller vérifier que tout se passe bien pour eux, si ils ont décidé d'être dans un bon jour, ou alors si ils ont changé d'avis et semblent être enclin à t'écouter, et alors tu lèveras la punition du bonnet. Autant dire que le matin en te levant, ce n'est pas qu'une quinzaine de minutes que tu leur consacres. Tu t'y connais aussi particulièrement bien en shampoing et autre masque pour chevelure brillante et lisse, aux fourches cassantes et besoin de se fortifier. Tu as même déjà été mannequin pour shampoing et tu as également tenu une conférence sur le besoin d'hydratation des cheveux et leur fréquence de repousse. Les connaisseurs te reconnaîtront. Si tu avais fait ce que tu voulais de ta vie, tu aurais été coiffeur de stars.
- Tu détestes la lumière, chez toi, tous les volets sont toujours fermés, et non, tu n'allumes pas la lumière (attention à la facture d'électricité voyons) et tu y es étrangement très bien accoutumé. Tu es un oiseau de nuit.
- T'es pas un grand bavard, mais parfois, il t'arrive, d'un coup, après le plus long silence que la Terre ait jamais connu, d'ouvrir la bouche pour sortir une blague à deux francs six sous qui ne te fait même pas rire. C'est presque un toc. Tu n'as même pas besoin de combler le silence, puisque le silence est un fait appréciable pour toi, mais non, c'est une vilaine manie que tu tiens depuis que tu es enfant. Les carambars étaient la seule chose que ta mère t'offrait, et leurs blagues débiles ta seule lecture. Alors, comme pour montrer qu'au final tu n'es pas qu'un parfait idiot, tu pensais que réciter les blagues de carambar (que tu avais réussi à lire, ce que tu pensais être un exploit) faisait de toi un être cultivé aux yeux de la populace. Des fois, je me demande si tu n'es pas réellement simple d'esprit. Ton QI à plus de trois chiffres et un quatre pour la dizaine devrait cependant démontrer le contraire. Pourtant, tout le long de ta scolarité, tu n'as fait que faire preuve de médiocrité.
- Tu chantes plutôt bien, tu as peut-être été une sirène dans une autre vie. Mais c'est rare que tu te mettes à pousser la chansonnette devant des gens.
- Tu es très mal à l'aise devant les enfants, et souvent, tu restes bloqué quand ils te regardent, ne pouvant plus bouger et en ne pouvant t'empêcher de regarder toutes les deux secondes si ils te regardent encore. Tu ne sais jamais quoi leur dire, ni même quoi faire avec eux. Pourtant, tu aurais fait un magnifique père.
- La plus grande sorcellerie pour toi n'est pas la magie, mais la technologie. Tu aimes tous les objets de l'ancien temps, tel le collectionneur antiquaire que tu es, vieille machine à écrire, biper, et autres ustensiles oubliés. Mais les smartphone, les ordinateurs et autres profanateurs du démon, tu les écrases sous ta semelle.


wizzggle

funambule
Pseudo - disturb
Âge - 21 ans
Découverte du forum - bazzart
Un avis, vite fait - on va se marrer  We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 1243117709
Fréquence de connexion - every day
Le mot de la fin -  We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 576805744
Crédits - schoenaertsmatthias.tumblr

   

   
i want

   to hide the truth i want to shelter you
   
« C'est quoi cette daube ? » fais-tu en refermant le bouquin, un gros volume sur un gamin à lunettes dans une école de coincés du slip qui pensent faire voler des objets avec une branche de bois. Un jeune garçon, qui doit bien avoir six ans de moins que toi (d'ailleurs peut-être aurais-tu dû t'inquiéter de savoir si il est majeur ou non), te scrute profondément, avant de venir s'asseoir sur tes genoux. « C'est trop bien ce bouquin ! » te dit-il en déposant un baiser sur ta joue. Vous êtes tous les deux nus, et vous venez de passer une nuit de folie dans ta maison délabrée et vide, alors que ton père a sûrement passé la nuit dans un bar. T'as vingt trois ans, t'es beau, t'es bestiale, t'es mystérieux et tu bois comme un trou. « C'est pas de mon âge... » Tu grognes à moitié en répondant, un peu bougon, et le gamin prend ça comme un acte de séduction, sans doute, puisqu'il choisit de t'embrasser à pleine bouche. Tu réponds à son baiser tout en te demandant quel nom peut-il bien avoir ? Et d'ailleurs, avait-il la même haleine de crustacé hier soir ? Et de grandes mains, si grandes qu'elles recouvrent la moitié de ton visage à elles-seules ? Dure soirée. Depuis combien de temps vis-tu cette routine, ce petit manège ? Depuis tes quatorze ans ? A coucher avec des hommes ou des femmes pendant que ton père croit te prendre sous son aile en te montrant les ficelles d'un bon arnaqueur, il se croit dans un film de Scorsese pendant que toi, tu as l'impression de faire du porte-à-porte même si ta came à toi n'était pas les tupperware ou les sexe-toys, mais bien de la poudre blanche, des armes ou tout ce que tu pouvais refourguer. T'as suivi à la mort de ta mère, quand t'avais quinze ans, parce que tu pensais lui faire plaisir. Tu croyais qu'il était dévasté par la disparition de sa chère et tendre, alors tu voulais être avec lui, le soutenir, il te sommait chaque jour de venir trafiquer avec lui, tu acceptais, en te disant que tisser cette relation père/fils qui n'avait été que vaine jusqu'ici ne vous ferait que le plus grand bien. Mais t'as pas encore compris qu'il se fiche bien de toi, de ta mère, même si tu as petit à petit commencé à vivre ta petite vie en cachette.
Wouh, ce jeune homme bien entreprenant vient de te donner une jolie claque sur ton fessier, sauf qu'au même moment, alors que résonne encore dans l'air le bruit de la peau contre la peau, la porte a claqué. Ton père se trouve sur le pas de la porte du salon, et il dévisage vos corps. Nus. Luisant. Et serrés l'un contre l'autre. Ni une ni deux, tu expulses le garçon (que tu ne trouves plus du tout attirant à la lumière du jour), celui-ci retombe d'ailleurs à quelques mètres de toi, le fessier au sol. Tu n'as jamais vu ton père dessoûler aussi vite. Tu es pétrifié, même si l'homme est aussi chétif qu'une chèvre, et aussi imposant qu'un furet (il en a également l'odeur). Le gamin a déjà fui par la fenêtre, et tu te demandes comment se fesse que tu n'ai pas encore fait la même chose. Tu es quand même nu devant ton père, cachant ta dignité avec tes mains, pendant que ton père, rote comme le parfait alcoolique qu'il est. D'ailleurs, tu prends ce geste comme le signe, peut-être, d'un pardon, et alors que tu esquisses, ENFIN, un mouvement de fuite, il lui suffit d'un regard pour que tu restes cloué sur place. Tu as loupé ta fenêtre de sorti, c'est le cas de le dire. Autant dire que ta prochaine nuit ne va pas pouvoir être qualifiée de jolie.
« Tu vas apprendre à être un homme, mon fils, un vrai !! » et blablablabla. Si il prenait le temps de t'écouter, il saurait que tu fourres ton « engin d'homme », comme il le dit, autant avec les femmes qu'avec les hommes. Mais c'est trop tard, il est parti dans un monologue de malade psychopathe, ce qu'il est en réalité, en titubant et en vidant une bouteille de vin à grandes gorgées. Il t'emmène tu ne sais où, mais tu te contentes de suivre, c'est ton père, et tu n'as pas la force de lui tenir tête. Ensuite, il te présente Rose. Française, plutôt jolie (on omettra le léger strabisme et les oreilles décollées), et destinée soit disant à faire ressortir l'homme en toi. Elle est soit disant douée, après tout, c'est son métier. Et même si le plaisir de la chair a toujours été un plaisir particulièrement particulier pour toi, à ce moment, tu n'en as pas envie. Mais un seul regard de ton père te force. Le pire moment de ta vie, sans aucun doute, et tu n'as rien eu d'un homme à ce moment, ne serait-ce peut-être dans le fait que tu as fait ton devoir principal d'homme, te reproduire.

   

   
but with

   the beast inside there's nowhere we can hide
   
Ça fait un moment que tu es réveillé, mais tu n'as pas bougé d'un minimètre. Tu as même gardé tes yeux fermés. Tu as un mal de crâne horrible, ça te compresse le cerveau à un tel point que tu as l'impression que ta femme a posé ses énormes fesses dessus. Mais elle n'oserait pas faire ce genre de chose, ça fait presque neuf ans que tu ne l'as pas touchée, depuis qu'elle a perdu ton enfant. Tu sais très bien que tu n'es pas chez toi, tu ne te souviens pas vraiment de ta soirée d'hier, mais tu sens qu'elle ne va pas tarder à te revenir en mémoire. Ça pue la moisissure et l'humidité ici, à qui t'as encore payé une nuit dans un hôtel miteux ? Tu ne te sens pas bien, y'a un goût étrange dans ta bouche que tu n'es pas capable d'identifier. Tu finis par ouvrir les yeux, oh oui, tu ne connais que trop bien cette chambre. Qui est l'heureux élu ? Tu regardes dans le lit à côté de toi, et ton visage se déforme de surprise, déjà que c'est rare qu'il se déforme pour quoi que ce soit, c'est encore plus rare que quelque chose te surprenne. C'est un gamin. Un mioche. Sale pédo, tu pourrais être son père !
Tu sors du lit en attrapant ton caleçon sur le sol. Ta tête te tourne immédiatement, mais tu fais un effort pour remettre tes souvenirs en place. Tu te diriges à tâtons vers la salle de bain, et au moment même où tu claques la porte derrière toi en jurant, et que tu poses ta tête sur la cuvette des toilettes, ton début de soirée te revient en mémoire.

Tu es tranquillement en train de compter ta recette du très début de soirée de l’ouverture de la boîte (Oui, tu tiens méticuleusement tes comptes, et tu comptes la caisse dix fois par soir, si quelqu'un essaye de te voler, jamais il ne s'en sortira!) quand un des vigiles t’appelle sur ton tawkie (Engin dont tout le monde est fourni dans ton bâtiment, tu adores ce truc). Soit disant une histoire de carte d'identité un peu bancale. En grand patron, tu fais craquer ta nuque, tu roules des épaules, tu joues les imposants et tu te rends à l'entrée de la boîte. Il y a un monde fou, et autant de bruits à l'extérieur qu'à l'intérieur. Le vigile te fait signe, il a mis de côté l'individu en question. « C'est quoi le problème ? » On te présente la carte en question. Tu t'en empares sans même poser un regard sur le jeune homme que le vigile tient fermement par le bras. Tu es en train de lire les informations dessus quand le vigile te prend la carte des mains. « Non attendez, Monsieur, pas comme ça. » Tu ne comprends pas ce qu'il veut te dire, tu n'as même pas eu le temps de voir ce qui cloche. Mais le vigile, alors, place la carte sous la lumière et cette dernière se met à luire de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. C'est quoi ce truc ? Tu arraches la carte des mains et tu la fais bouger sous la lumière du réverbère, elle émet alors différentes teintes de couleurs. Au bout d'un moment, tu prends conscience que tu fais mumuse comme un gosse, alors tu tousses distraitement, et tu commences à lire, nonchalamment, ce qu'il y a d'écrit. « Charles Windsor, de Prussie, hein ? » C'est où la Prussie, déjà ? T'as beau chercher, tu ne trouves pas. En même temps, la géographie, ça n'a jamais été ton truc. De plus, la moustache sur le front sur la photo d'identité achève de te convaincre. C'est une fausse. Tu finis tout de même par regarder ce détenteur de la carte. Il doit même pas être mineur.

Tu te souviens lui avoir demandé son âge, ensuite. Et il t'a répondu vingt-cinq ans, ce qui était clairement un mensonge. Il t'a demandé le tien, et tu lui as répondu vingt-cinq. Ce qui est clairement un mensonge, on peut rajouter au moins huit années. La froideur du carrelage, et de la cuvette des toilettes, contre ta peau, ne te calment pas, mais tu as trop le tournis pour oser te lever. Depuis quand tu tombes malade après une simple beuverie ? T'as plutôt une grosse descente, et même si tu t'es fait plaisir hier soir, il n'y a rien qui puisse te mettre dans l'état dans lequel tu es. Ta vue est brouillée et tu as un désagréable bourdonnement dans les oreilles, comme si il y avait un truc qui volait à quelques centimètres à peine de tes oreilles. Tu passes une main tremblante sur ton front trempé de sueur. Putain de nuit, tu ne te souviens pas très bien du reste, simplement d'avoir roulé des galoches à un enfant qui n'a même pas la moitié de ton âge. Même si il embrasse bien. Oui c'est vrai que pour un môme de cet âge, il se débrouille plutôt bien, que ce soit pour embrasser ou plus. Oh putain, tu n'arrives même pas à croire que tu es en train de penser à ce genre de chose. Ça te donne envie de vomir. Bah tiens, ça a pas loupé. Tu fermes les yeux en agrippant les toilettes, mais tu comprends que ce qui est actuellement en train de sortir de ta bouche n'est pas ce qui devrait originellement sortir. Tu ouvres les yeux, les toilettes sont maintenant décorées de centaines de paillettes brillantes. « C'est quoi ce putain de bordel ? » tu marmonnes, à demi-conscient, alors que tu entreprends d'ajouter aux paillettes brillantes des nouvelles, cette fois argentées.

Il t'a fallu plus d'un mois pour accepté ta nouvelle condition. Un wizzggle. Non mais franchement, ça devait tomber sur toi ? Tout ça parce que tu as couché avec ce stupide gamin, qui devait un de ces satanés sorciers. Comment as-tu pu être aussi malchanceux ? Ça craint à mort, même si c'est joli les paillettes. Forcément, ton père trouve ça intéressant, parce qu'il pense pouvoir utiliser tes nouvelles capacités pour son profit, alors il t'a forcé à te déclarer et à prendre des cours avec un de ces fichus professeurs. Mais tu ne fais pas beaucoup d'efforts. C'est vrai que ça t'ouvre les portes d'un trafic plus important qu'est celui des objets magiques, mais tu pourrais très bien te passer de ta propre magie médiocre.


Dernière édition par Bellérophon Dröan le Mer 15 Avr - 13:16, édité 19 fois
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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Ven 10 Avr - 19:20
WELCOME We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 3459222375
On va bien se marrer oui, c'est certain, héhé. Bon courage pour la suite de ta fiche en tuka, et n'hésite pas à me MPotter si besoin ! I love you
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Invité

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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Sam 11 Avr - 15:48
Merci We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 1934517558
Au final, il est pas encore bien drôle, le petit Bell We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 2408221037
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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Sam 11 Avr - 16:00
Bienvenue We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 3934207010

— Bon courage pour ta fiche We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 792164397
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Invité

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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Sam 11 Avr - 20:25
OH MON DIEU MATTHIAS JE MEURS JE MEURS We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 1717472474 We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 1717472474 We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 1717472474 Excellentissime choix d'avatar We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 2268898669
Bienvenue sur le forum, si tu as des questions n'hésite pas We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 318552566
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Invité

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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Mer 15 Avr - 13:15
Merci beaucoup à vous deux We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 4055090993

Et voilà, j'ai fini ma fiche We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 3934207010
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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Mer 15 Avr - 15:12
Mon Dieu, cette fiche We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 3679001146 J'adore ton style, et puis j'adore ton personnage. J'me demande bien comment il fait pour savoir quel âge s'il ne connaît pas sa date de naissance par contre, il fait une datation au carbone 14 tous les ans pour avoir une fourchette ? We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 2422761522 Tes anecdotes sont super drôles tout en étant parfois sérieuses et ton personnage sort vraiment de l'ordinaire. Du coup, grâce à toi je connais le nom de la maladie qui consiste à tout stocker et à ne rien jeter, je vais pouvoir en débattre avec quelqu'un que je connais qui m'a tout l'air syllogomane (ce sentiment de puissance en écrivant ça, olé). Les trois premières lignes de ton histoire sont tout bonnement captivantes ; bim, tu balances le truc et forcément, on n'a plus qu'une envie, c'est de lire.

J'ai trouvé ça franchement fascinant, à la fois intrigant, drôle et tellement vrai qu'on croirait lire les mémoires d'un type bourré en plein délire. J'ai beaucoup aimé le passage sur le transfert magique et la façon dont tu présentes tout ça. En réalité, il y a juste deux petits trucs que j'aimerai que tu rajoutes. Le premier concerne l'enfance de ton personnage ; il ne sait pas d'où il vient, il ne sait rien, mais il sait quand même que sa mère est morte alors qu'il avait 15 ans. Comment a été son enfance, du coup ? On en sait vraiment très peu, je me doute bien que c'est voulu et il faut avouer que ça ajoute du charme au personnage. Mais dans la mesure où c'est demandé, je suis dans l'obligation d'attendre quelques précisions, héhé. De même, tu ne parles que très peu des bouquins d'Harry Potter ; pourquoi le mec les lui a t-il fait lire, comme ça, sans raison ? Ca tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, même si le passage est très bien écrit et amusant. Et enfin, last but not least qui suit le point précédent, al révélation de l'existence des sorciers : aucune info' là-dessus dans l'histoire. Il y a des bribes avant, mais rien de concret et d'explicite. Comment ton personnage se comportait-il vis-à-vis de l'imaginaire avant ça, et comment l'a t-il pris après ? Je pense que ça mérite d'être approfondi, et après ce sera bon I love you
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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Dim 19 Avr - 23:59
Bienvenue We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA) 84336601
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JOKER
A. Lux Ó Cearnaigh
ÂGE DU PERSONNAGE : 25 ans

PROFESSION : doctorante & pianiste

INFLUENCE : 26

ARRIVEE : 01/02/2015

HIBOUX : 1904





A. Lux Ó Cearnaigh

Feuille de personnage
ANECDOTES SUR MA PERSONNE :
MON AVIS SUR LA SITUATION :
ORIGINE : moldu

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Re: We can do this, the hard way, or the easy way (FINISHITA)

Ven 24 Avr - 21:09
Le délai de deux semaine accordé à la création de ta fiche étant expiré, celle-ci est envoyée aux archives. Tu peux toutefois contacter un membre du staff pour la récupérer dans la semaine qui suit cet archivage (soit avant le 1 mai 2015) ; sans cela, ton compte sera supprimé.
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