PROFESSION : formation en tant que socio-esthéticienne.
INFLUENCE : 14
ARRIVEE : 25/04/2015
HIBOUX : 185
Aloha Hamilton
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: moldu
life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 1:48
aloha hamilton
"I'm a ninja. - No you're not. - Did you see me to do that ? - Do what ? - Exactly."
Personnage inventé Scénario
wanna know who i really am ? my face is annasophia robb
Nom - hamilton
Prénom(s) - aloha, et ouais man je représente l'Amour personnifié. qui dit mieux ?
Âge - vingt balais
Naissance - 01.04.1995, Honolulu, Hawaï (si c'est pas la classe ça.)
Condition - moldu
Particularité - membre fidèle de l'espèce rare et enviée des blondes intelligentes. en voie de disparition cependant.
Classe sociale - je roule sur l'or avec ma jolie peugeot fluo. (revenus moyens)
Sexualité - oh, regardez ce mignon petit garçon qui passe dans la rue... non, sinon, je prends de tout, filles comme garçons. non non mon désespoir ne parle pas.
Statut - 8 planètes. 204 pays. 809 îles. 7 océans. Plus de 7 millards d'humains. Et je suis célibataire.
Emploi, études je suis une formation de socio-esthéticienne depuis un an à londres. (j'avais pourtant essayé le porno. mais j'étais trop bien pour eux.)
london & me, the story
London, cette ville des lumières dans laquelle s'amasse mille et uns êtres en quête d'un objectif, plus ou moins concret, afin de rythmer leurs misérables vies de moldus, sorciers, wizzgles, vampires, et enfin peu importe, vous avez compris. Pour certains, cet antre abrite les plus vils démons et les esprits les plus cruels en cet enfer dont il est impossible de s'évader. Pour d'autres, cette place où colombes et pigeons s’entre-tuent regorge de trésors et de saveurs jamais égalés. Londres, Londres, sentiment d'évasion, sentiment de perdition, on pourrait presque en faire une chanson. Les avis divergent, mais le mien est tout tracé. Cette ville n'est qu'une ville. Six lettres se succédant, définissant des bâtiments tentant sans cesse de surpasser le voisin, un peu de verdure pour embellir, ou du moins laisser paraître une certaine idéalisation d'un lieu pour le moins anodin afin d'accueillir touristes et stupides humains à la recherche d'un logement. L'effervescence est tel qu'il s'avère impossible d'écouter un bon vieux cd de métal bien dosé sans entendre le distrait piaffement de toutes ces âmes s'entassant entre les rues bondés d'une ville comme toutes les autres. Quoi qu'elle possède quelques suppléments hauts placés tel que la bâtisse d'une vieille grand-mère incarnant un pays ravagé par l'excès de Burger King, laissée pour morte entre ces murs impossible à gravir. Murs précieusement gardés par quelques bon hommes destinés à rester droit et fier dans le froid comme dans la chaleur, sans même oser rire face aux cascades des touristes. Sans parler de cet incontournable London Eyes, synthèse succincte d'une visite à Londres, dans laquelle il est possible de contempler du plus fameux angle de vue l'accumulation de ces taudis lustrés par quelques cent milles habitants souriant stupidement. Mais, dans l'ensemble, jolie ville. Une jolie ville incomparable aux paysages paradisiaques de mon pays natal, Hawaï. Une beauté née pour demeurer dernière magnificence de la Terre jusqu'à son ultime souffle. Des plages, des sourires, et plus que tout, un océan envahi par la rage de quelques rafales de vagues entraînant les surfers à dompter l'écume de nos peines. Parce que c'est ainsi, mon âme est à jamais celle d'une hawaïenne, celle d'une surfeuse hors pair ayant combattu vents et éclairs. Dans l'optique de poursuivre ma formation de socio-esthéticienne visant à gérer des personnes souffrants de troubles, et maladies diverses, je me suis volontairement exilé en un lieu si lointain, trop lointain. Bon, d'accord, je voulais aussi fuir un ex à qui j'ai "malencontreusement" piraté le compte facebook pour envoyer quelques messages pas très chrétiens à plusieurs de ses contacts dont sa mère. Dure séparation, ma susceptibilité est à prendre en compte. Éloignée de mon pays natal, mon âme commence délicatement à se dégrader sous les amas de déchéances dégagés par une ville dénuée du parfum de l'existence, la véritable existence. Celle qui vous prends aux tripes.
i've got a feeling
Je suis une réfractaire. Du moins, je n'ai jamais ressenti une obsession perverse envers l'existence des sorciers, ni tout au contraire, une nécessité de tous les exterminer. Non, non, de ce côté là, je préfères me défouler sur mon infaillible ps3. Je suis ce que l'on pourrait nommer le camp neutre dans toute sa splendeur, ni toute blanche, ni toute noire. Apprendre que de tels personnes vivaient et existaient depuis tant de siècles ne m'a guère surprise, la vie est ainsi, agrémentée par ne quantité infinie de rebondissements et de surprises. Regardez, encore une fois, j'ai découvert pourquoi la lampe de mon bureau ne fonctionnait pas depuis quelques années déjà. Elle n'était pas assez vissé. Je ne me prends jamais la tête avec ce genre de conflits intérieurs. Oui, il existe des personnes capables de me manipuler, me contraindre à me laisser tomber d'une falaise, me tuer en un éclair de lumière aux étincelles vertes. Et pire que tout, des personnes capables de m'administrer un philtre d'amour sans que je ne puisse réagir. Vous imaginez ? Tomber amoureuse d'une personne, qui pourrait aussi bien, avoir les cheveux aussi gras que le professeur Rogue dans ce fameux livre de JKR, ou pire encore, être envoûté par un vieux professeur aux lunettes en lunes, vous savez, le directeur de l'école des sorciers. Il m'a toujours paru louche, je suis certaine qu'il en serait capable... Le seul point qui m'a plutôt émoustillé fut de découvrir que les vampires existaient bels et bien suivant cet affreux phénomène Twilight. Croix de bois, croix de fer, le premier vampire que je rencontre, je me venge sur lui en tant que représentant de son espèce pour avoir inspiré l'auteur dans sa démarche d'écrire quatre tomes capables d’assommer un éléphant d'âge mûr afin de soulager les hormones en ébullitions de toutes les adolescentes du monde. Revenons à nos moutons. Je ne fus donc pas surprise d'apprendre qu'ils étaient là, parmi nous, et que d'autant plus, ils n'étaient pas tous aussi parfaits que le prétendait les livres de JKR. Parce que oui, il m'était arrivé de les lire pour combler mes longs silences de gênes sur les toilettes. Ahem. Quant aux mangemorts, je ne ressens aucune peur envers eux. Ils ne sont rien de plus que quelques assassins masqués dirigés par un leader, qui, ne l'oublions pas, s'est autrefois appelé Tom. Assez ringard, non ? D'autant plus que niveau nom qui accroche, nous pouvons facilement faire mieux. Attendez, mangemorts. Comment les prendre au sérieux ? Le premier qui vient et me déclare appartenir à ce joli petit club, je ne pense pas pouvoir m'empêcher de rire. Je suis un violent compulsif, attention, je mange la mort. Et ouais, putain de slogan, je sais.
Alors, très sincèrement, pourquoi vouloir dramatiser une situation des plus normales ? Notre vie fût toujours celle-ci. A présent, nous connaissons simplement à présent la vérité sur nos troubles de la mémoires réguliers, et nos croyances un peu délurés en des sirènes, vampires et sorciers accompagnant nos soirées devant la télé. Tout simplement.
your secrets are safe
• Depuis que je contemplas pour la première fois la lune étincelant dans le ciel, je conservais dans un recoin de mon esprit la fervente envie de devenir astronaute. Jusqu'au jour où je fus en âge de comprendre que je devrais suivre des études scientifiques. Soit des math à bouffer matin midi et soir. Matière que je considéras toujours comme Mental Abuse to Humans. Voilà comment changer d'obsession. • Malgré un sens de la perfection très aiguë chez ma personne, j'ai tout de même développé une phobie compulsive dont je ne suis jamais parvenu à me débarrasser. Soit, l'Anatidaephobia, étant "la peur que quelque part, d'une façon ou d'une autre, un carnard vous observe". J'en fais des cauchemars. Indirectement, dès que j'aperçois un carnard, je ne parviens pas à m'empêcher de trembler. • Particulièrement douée en surf, j'ai grandi sur une planche entourée par une famille espérant un avenir brillant dans ce domaine. Pourtant, en tant que joyeuse adolescente, je ne pus m'empêcher de me rebeller contre ma famille, ne souhaitant pas poursuivre une voie qui n'était pas la mienne. Oui, en réalité, je ne supportais simplement pas l'idée d'être sur la même longueur d'onde que mes parents. Alors, je foutus mon avenir en l'air pour me concentrer sur une tout autre passion. L'humain. • Je ne suis jamais tombée amoureuse. Pas même une fois. Pourtant, après des années à tourner entre boîtes et concerts enflammés, je devrais l'avoir trouvée, mon prince charmant. Ou ma princesse. (Ne jamais se retirer de possibilités.) Mais, le temps passe, rt je suis toujours là, à me tourner les pouces, électron libre voyageant dans les lits de tous sans jamais trouver l'âme sœur. Sortez les violons. • A mes seize ans, lors d'une soirée un peu trop arrosée, après avoir bu "quelques" verres de vodka, je suis apparemment devenu bilingue. Je me suis mise à parler couramment allemand, juste comme ça. Encore un des effets positifs de l'alcool. Parce que oui, oui, j'avais choisi allemand en seconde langue en collège. J'étais probablement dans une période dépressive à ce moment là. • J'ai fais l'amour pour la première fois... ahem, je ne m'en souviens même plus. Encore une fois, merci à mon amie la vodka. • J'ai essayé un string, un jour. Croyez moi, après ce que ma raie a endurée, je n'ai plus jamais retentée l'expérience. J'ai failli ouvrir un club anti-stings, mais par manque de temps, ce projet ne s'est jamais concrétisée. • Il fut un temps où j'avais deux dindes dans le jardin de ma maison à Hawaï. Jusqu'au jour où elles moururent, emportées par la maladie du pingouin. Nous avons passé un agréable Thanksgiving. • J'ai pleuré devant Titanic. Non parce que Jack décédait tragiquement pour avoir souhaité rester un parfait gentleman jusqu'à la fin. Non, uniquement parce que j'ai réalisé que je ne pourrais jamais avoir la chance de rencontrer un Leonardo DiCaprio aussi jeune, aussi beau. La vie est si cruelle. • J'aborde une importance cicatrice dans le bas de mon dos. Bon, vous avez certainement dû entendre qu'il s'agit d'un requin, qui, un jour m'attaqua, me prenant pour une tortue alors que je m'apprêtais à prendre une imposante vague du haut de mon surf. En réalité, gardez le pour vous surtout, je ne voudrais pas entailler la légende de mon accident, j'ai tenté de rattraper un ballon de football après avoir "légèrement" trop bu, mon pied a roulé sur sa surface m'entraînant dans une chute incontrôlable vers la bouteille jeté un peu plus tôt par moi-même afin de pouvoir récupérer le ballon avec mes pieds, alors que je ne me servais donc pourtant pas de mes mains pour tenir cette putain de bouteille. Mes potes étaient alors tellement déglingués qu'ils ont préféré parti au lieu d'appeler les secours. Ma plaie s'est infecté. Quelqu'un m'a finalement aperçu et m'a entraîné à l'hôpital. Morale de l'histoire: j'ai changé d'amis. • Je suis très sensible aux blagues concernant les blondes, je peux devenir très violente si qui que ce soit ose les prononcer face à moi. La dernière personne qui a tenté est resté un jour à l’hôpital. Et moi environ deux mois. • J'ai crée l’association des Chocolate Anonyme. Après voir entendu un présentateur dire, "essayez de tenir deux jours sans boire, un mois sans boire, un an sans boire. et après, dite moi si vous êtes alcoolique", j'ai renouvelée l'expérience avec le chocolat. Et j'ai réalisé que je ne parvenais pas à tenir plus d'une semaine sans manger. J'ai ainsi développée une obsession irrémédiable. Je ne pouvais plus regarder Charlie et la Chocolaterie sans verser quelques larmes face aux dangers du chocolat présentée dans ce film particulièrement réaliste. • Parfois, il m'arrive de parler aux objets. Chut, c'est un secret entre vous et moi. • J'avoue, oui j'avoue, j'ai déjà regardée en cachette les Twilight, et je les ai aimés. Mais, vous comprenez, j'étais dans une mauvaise période, prête à me suicider en me jetant des trottoirs, je n'étais plus moi-même. Comment me faire pardonner pour avoir commis un acte aussi odieux ?
muggles
les réfractaires
Pseudo - Dieu Suprême
Âge - L'âge de la Terre divisé par le rayon de Vénus multiplié par la puissance d'Avagogadro, ajouté à cela la règle de Descartes, par le théoèrme de Thalès. Et vous obtenez mon âge. Plus ou moins.
Découverte du forum - Maaagiiiie Merci Bazzart surtout
Un avis, vite fait - Je dirais, vite fait, que vous êtes des dieux tout puissants, vous gérez la fougère, le design just amazing et je vous nem déjà, voilà.
Fréquence de connexion - au moins une fois par an je pense. alleez tous les soirs et les week end environ
Le mot de la fin - je suis un Albatros, oui c'est moi.
Crédits - google image it's giphy
hawaï premier chapitre
Les abysses de nos âmes e délires sont si creuses. Nous sommes là, à vivre, à mourir, à sourire. Toujours, encore, entraîné par le rythme inlassable de l'existence et de nos cœurs battant en harmonie. Cet engrenage infernal ne cesse de perpétuer la beauté de son geste au travers le monde. L'Humanité hurle, hurle d'une puissance dévastatrice, hurle fais moi la vie. Alors, nous vivons. Nous vivons entre des larmes et des rires, mais nous vivons. Cette passion ébranlant lui, elle et moi fut toujours présente, dans le creux de mon être transis par l'illusion du bonheur. Je suis née pour croire en sa ferveur, je suis née pour mener en un rire toutes ces âmes en états de perditions oubliant comment exister. Mon rêve, mon plus grand rêve, celui-ci même brûlant d'une ardeur irremplaçable, fut d’offrir au monde des esquisses d'une euphorie, leur offrir l'absolution de leurs malheurs, l'offrir plus qu'ils n'ont, leur offrir un temps de répits, un temps où tout est permis , un temps où nous ne sommes plus qu'un, Humanité. Un seul mot. Un seul mot dont certains ont oubliés la signification du haut de leur cruauté lustrés jour après jour, en un rictus trahissant les flammes de l'enfer. Un rictus dégageant un sentiment de pitié, une émotion de pitié envers eux-mêmes. Perdre sa route vers les profondeurs de la terre n'est rien, rien, jamais rien d'irréparable. Il suffit d'y croire, de le vouloir. Je me souviens, étant petite, jolie blonde dans l'océan, avoir hurlé sans même y penser ma rage, ma rage de convaincre tout un chacun d'un idéal. L'idéal que nous pouvons tous nous prélasser entre les bras de notre amour pour nous-même. Je suis cette flamme imposant sa présence entre les spectres de l'obscurité. Je suis cette lueur réchauffant vos cœurs. Je suis simplement un sourire que vous entrevoyez au loin. Et qui vous sauve, qui vous sauve de ce néant noir, noir comme votre désespoir. Vivez. Murmure le chaos.
"Aloha ? Aloha Hamilton ? Oui, je suis bien sa mère, c'est bien moi. Hum, je n'avais plus entendu ce prénom depuis longtemps. Un jour, elle a juste décidé de partir, pour ne plus jamais revenir. Vous savez, avec son sourire en devenant agaçant, cette mimique d'aisance impossible à imiter, ses cheveux dansant sur sa peau, toujours détachés. J'ai passé la moitié de ma vie à tenter de les redresser, mais non, elle préfère les garder sur son visage. Une vraie sauvage, ma fille ! Vous y croyez ? Elle n'a pas dit un mot... enfin si, elle a dit, je précise, Longue vie à vous chers parents. Nous nous reverrons dans l'au-delà. Et elle est partie. Son sac sur le dos, guidée par le vent de la rébellion. Je ne comprends pas pourquoi ses gênes sont si déréglés. On ne pouvait pas faire une fille normale et obéissante, qui nous aimerait sans protester ? Non, non, on a eu droit au "tout". Je pourrais presque écrire un livre sur Comment gérer une adolescente aux hormones en fusion. De 11 ans à maintenant, ce fut fini, impossible de la contrôler. On a pourtant organisé une messe pour elle, dans l'espoir qu'elle retourne sur le droit chemin. Quand elle l'a appris, elle est revenu chaque jour avec une fille, une fille. Inconnu, au passage. J'ai manqué la crise cardiaque. Que Dieu nous pardonne." mère d'Aloha Hamilton, aussi connu sous le nom de maminouche, Ou Claudine.
"Oh, non. Je pense que tu exagères mon ange. Elle n'a pas été si terrible. Regarde, tu te souviens, il n'y a pas si longtemps que ça... elle m'a complimenté toute une après-midi, elle m'a même aidé... ah, non. C'était la fois où elle tentait de me distraire pour que son ami puisse prendre la voiture. (paix à son âme) Mais, non, elle a un bon fond Claudine chérie... elle le cache simplement très bien. Elle a toujours eu ce petit sourire indéfinissable entre le sarcasme et la joie... Quoi que, je pense avoir plus vu le premier... Mais, peu importe, je suis fier d'elle. Elle vit dans un appartement dans une ville à demi puante, dans laquelle quelques cruels sorciers font rages, ne se privant pas d'une soirée chaque soir, et d'un bon verre de vodka en déjeuner, loin de chez nous. Je pense qu'elle a plutôt réussi son coup, non ? Oh, Claudine, que Dieu ait pitié de nous pauvres pêcheurs." père d'Aloha Hamilton, aussi connu sous le nom big daddy, Ou Jean-Jacques.
Phase de rébellion réussie avec succès. √
"Aloha, elle est sympa. Un peu hyperactive, elle ne prend jamais de gants aussi bien physiquement que mentalement. Oui, on les sent bien passer ses dix ans de boxe américaine. Plutôt bien, oui. Clairement, je dois avouer, que maintenant qu'elle est partie, je suis soulagée. Elle n'arrêtait pas d'abuser de mes peurs ! Je n'ai jamais pourtant fait preuve de cruauté en jouant avec son point faible. Tiens, d'ailleurs, si vous voulez vous venger, n'hésitez pas, elle déteste les canards. Après toutes ces années à jouer avec ma peur, qui, elle, est bien réel. Je suis très sensible à ce sujet. Elle ne l'a jamais compris. Non, non, madame la jolie blonde venait toujours en me parlant en allemand, vous savez cette langue dont les mots font chacun... plusieurs mètres. Oh, et elle ne cessait de répéter... je ne peux pas le dire, je suis trop sensible, je... le mot pneumonoultramicroscopicsilicovolcanoconiosis. Il est là, dans ma tête, il me hante. Il s'agit d'une maladie des poumons... elle était toujours là, à me le souffler, au creux de l’oreille. Vous savez avec son sourire aux allures démoniaques. dès que vous le voyez, fuyez. On ne peut pas lui échapper. Elle a toujours profité de mon Hippopotomonstrosesquippedaliophobie, étant la peur des mots trop longs... Regardez, regardez, je commence à en trembler ! Cette fille m'a anéantie ! D'ailleurs, la dernière phrase qu'elle prononça à mon égard fût: On se retrouvera à Chargoggagoggmanchauggagoggchaubunagungamaugg, tu sais cette ville dans le Maryland. Si je me souviens bien son nom fait plus ou moins 45 lettres. Assez impressionnant, non ? " Ami d'enfance d'Aloha Hamilton, communément appelé Pourroy de L'Auberivière de Quinsonas-Oudinot de Reggio. (il préfère Roy.)
Phase de torture réussie avec succès. √
"Viens-tu de prononcer le nom d'Aloha ? Cette s****e blonde qui a ruiné ma vie sociale ! Oui, oui, c'est elle, c'est elle qui a piraté mon compte facebook après notre rupture. D'ailleurs, il s'agissait d'une fausse rupture, j'ai voulu lui faire un poisson d'avril pour son anniversaire ! Maintenant, le monde entier me prend pour un gay unijambiste aux tendances zoophiles, spécialisés dans la radioactivité des hamsters d’Antarctique ! " Ex d'Aloha Hamilton, aussi connue sous le nom de G.U.T.Z.S.R.H.A.
Phase "oh merde, alors c'était un poisson d'avril ?" réussie avec succès. √
" Je l'ai toujours aimée celle-là. Bon, je dois avouer, je l'adore littéralement quand elle est sous l'effet de la vodka. Elle est complètement délurée, quoi, vous avez jamais vu son putain de sourire quand elle est bourrée ? A ne pas rater. Sans parler de celui qu'elle avait quand nous avons partagé une nuit ensemble. Une véritable fée. Pourtant, elle n'a jamais compris ma passion pour les romans de JKR. Non, elle s'est toujours foutu de moi pour ma passion démesurée pour la magie et cet univers. Je savais qu'il existait, je le savais au fond de mon cœur ! Mais, non, elle n'a jamais voulu respecter cette croyance. D'ailleurs, croyez le ou non, je regrette encore aujourd'hui d'avoir laissé le tome sept dans les toilettes. Il n'y avait plus de PQ. Vous imaginez la suite. J'ai mis des mois à lui pardonner." Ami proche d'Aloha Hamilton, aussi connu sous le nom de Jsh. (je suis harry)
Phase défi toilette réussie avec succès. √
" Oh, Aloha, la jolie moldue au sourire d'ange ! Oui, je me souviens bien d'elle, comme l'oublier ? J'étais fou amoureux d'elle, à l'époque. Complètement, radicalement, obsessionnellement sous son charme. On a passé beaucoup de temps ensemble. Je la contemplais sur sa planche de surf entamer des cascades. Et, enfin, est venu le jour où je n'ai pas tenu. Je lui ai révélé mon identité de sorcier. Je pensais qu'elle allait rire, crier, ou, tout au contraire, me prendre pour un taré. Non, non, elle a juste, souri, vous savez, ce sourire. Et elle m'a dit, je cite: Oh bordel ! Tu es en train de me dire que tu es un sorcier ! Donc, techniquement, tu es capable de m'aider avec mes boutons d'acné. Oh, s'il te plait, s'il te plait, aide moi, tu n'imagines pas comme c'est dur d'être une pauvre humaine sans pouvoirs attaqué par un surplus d'hormones... Oh, cela explique la perfection de ta peau !"Ami sorcier d'Aloha Hamilton, aussi connue sous le nom de Charmant.
Phase "un jour pour une peau parfaite" réussie avec succès. √
" Cette blonde. Elle m'a tout de suite parue inoffensive. En tant que fidèle serviteur du Seigneur des Ténèbres, je me devais de lui rapporter un trésor comme cette jolie moldue. Mais, au contraire de toutes mes autres victimes, lorsqu'elle m'a vu arriver dans ma cape noire achetée quelques jours plus tôt dans la boutique Madame Guipure en réduction, elle a éclaté de rire et a tourné les talons. Je n'ai pas osé la poursuivre. Je suis certain qu'elle n'est pas une simple humaine, il doit se cacher quelque chose de plus derrière son sourire suffisant. " Mangemort à la retraite.
Phase "oh putain ce look! " réussie avec succès. √
" Dès qu'elle me voit, ou pense me voir, elle hurle et coure dans tous les sens. Impossible de l'arrêter, elle est prise par une soudaine hystérie. Je vous jure, elle est effrayante quand elle est ainsi. Elle a manqué de m'écraser la dernière fois ! Elle a même tenté de me tuer avec un couteau, en me hurlant qu'elle allait enfin m'avoir et vivre sa vie en paix, loin de toute menace à bec." Carnard anonyme torturé, aussi connu sous le nom de l'Eclair Jaune.
Phase "phobie activée" réussie avec succès. √
" Oh, il s'agit de l'une de mes élèves en formation. Au départ, je ne voulais pas la prendre, son dossier scolaire s'avérait être bien trop léger... Mais, sincèrement, vous n'imaginez pas à quel point elle peut être persuasive. Très amicale cette petite. Elle aime les contacts humains, oh oui." Employeur d'Aloha Hamilton, aussi connu sous le nom de Big Boss.
Phase emploi réussie avec succès. √
" Aloha. Elle ne me connaît pas. Je ne la connais pas. Mais, je sens qu'elle regorge d'un besoin de vivre et d'être entendu hors norme. Son sourire est son seul moyen d’extérioriser ses sentiments. Son sourire est son âme." la Vie.
Dernière édition par Aloha Hamilton le Dim 26 Avr - 20:20, édité 2 fois
ÂGE DU PERSONNAGE : 28 ans
PROFESSION : Etudiant en dernière année et palefrenier.
INFLUENCE : 48
ARRIVEE : 11/04/2015
HIBOUX : 455
Apollo Méliès
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: wizzgle né-moldu
Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 1:58
Bienvenue ! Bonne chance pour ta fiche
ÂGE DU PERSONNAGE : 20
PROFESSION : stagiaire conservateur au British Museum
INFLUENCE : 32
ARRIVEE : 23/04/2015
HIBOUX : 238
Beryl E. Marshall
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: moldu
Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 10:28
Bienvenue
Aloha Hamilton a écrit:
membre fidèle de l'espèce rare et enviée des blondes intelligentes. en voie de disparition cependant.
J'ai soufflé du nez en lisant ça, mais alors Aloha fait partie d'une espèce protégée, non ?
ÂGE DU PERSONNAGE : 25 ans
PROFESSION : doctorante & pianiste
INFLUENCE : 26
ARRIVEE : 01/02/2015
HIBOUX : 1904
A. Lux Ó Cearnaigh
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: moldu
Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 10:50
Bienvenue parmi nous J'avoue que j'ai beaucoup ri en lisant ce que tu as déjà écrit La peur d'être observée par un canard, gosh, c'est énorme J'ai hâte de lire ton histoire du coup, ça promet Bon courage pour la suite
ÂGE DU PERSONNAGE : vingt-trois ans.
INFLUENCE : 2
ARRIVEE : 10/04/2015
HIBOUX : 273
Balthazar Camus
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: sorcier de sang mêlé
Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 11:41
bienvenue
annasophia est sur-belle quel choix !
ÂGE DU PERSONNAGE : vingt ans
PROFESSION : formation en tant que socio-esthéticienne.
INFLUENCE : 14
ARRIVEE : 25/04/2015
HIBOUX : 185
Aloha Hamilton
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: moldu
Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 17:02
apollo > aaw mikaaa c'est hyper rare de le voir sur les forums, choix juste parfait (en fait je pense que je ne l'ai même jamais vu ) en tous cas, merciiiii
beryl > merciiii aha oui, trèèès protégée
lux > freya mavor = skins = je te neeem eh eh, merci je suis contente que mon début de fiche te plaise
balthazar > merci toi gosh ton avatar à toi aussi, à tomber
ÂGE DU PERSONNAGE : 25 ans
PROFESSION : doctorante & pianiste
INFLUENCE : 26
ARRIVEE : 01/02/2015
HIBOUX : 1904
A. Lux Ó Cearnaigh
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: moldu
Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 19:17
Ta fiche est vraiment géniale A mourir de rire et en même temps vraiment belle, vraiment bien écrite, poétique et rêveuse. C'était un plaisir de te lire, et puis j'adore cette façon de présenter un personnage, via des témoignages. Le canard et JSH, mon dieu C'est génial, je n'ai rien à redire, à part... "phase réussie" et pas "réussite", ahaha Garde-moi un bon lien qui déchire, nos blondes se ressemblent vachement (tout aussi dingues et actives), je les vois trop bien s'entendre
Tout est bon darling, je te valide Je t'invite à aller recenser ton avatar ici ainsi que ton métier ici. Amuse-toi bien sur CTR
ÂGE DU PERSONNAGE : vingt ans
PROFESSION : formation en tant que socio-esthéticienne.
INFLUENCE : 14
ARRIVEE : 25/04/2015
HIBOUX : 185
Aloha Hamilton
Feuille de personnage ANECDOTES SUR MA PERSONNE: MON AVIS SUR LA SITUATION: ORIGINE: moldu
Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
Dim 26 Avr - 20:24
aaaw merci, merci, merci pour la validation et pour tes compliments, ça me fait vraiment plaisir Moi ? Avoir fait une telle faute ? Jamaaais Hé hé, promis je te garde une place bien au chaud dans ma jolie future fiche, entre blondes, on s'entend toujours brefouille, hâte de bricoler un lien de fifou avec ta belle
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Re: life is short. smile while we still have teeth. (aloha)
life is short. smile while we still have teeth. (aloha)