Pour Victoire, Londres est le paysage ambiant dans lequel elle a longtemps vécu. Elle en connait les moindres recoins, est capable de dire quel est le meilleur endroit pour un fish&chips, un café pas trop cher ou un magasin vendant des farces et attrapes (Toujours chez Weasley's Wizard Wheezes!). C'est une ville plate, où tout peut-être vu depuis le London Eye, et cela lui permet de rester les pieds sur Terre. Ce n'est pas comme les Pyrénées, à 2000 mètres d'altitude, où elle a étudié pendant 7 ans. L'air de la montagne, la hauteur, le froid... Tout la déprimait à Beauxbatons. Et pour couronner le tout, c'est en France! Brr...
Londres, c'est un peu la Terre Promise pour Victoire. L'endroit où toutes les nationalités, tous les styles vestimentaires se mélangent sans problème. Un punk avec une crête multicolore peut croiser un sorcier, et ça ne choquera que peu de monde. Ouverte d'esprit et je m'en foutiste. Voilà deux adjectifs qui décrivent Londres, mais également Victoire, à qui tout va du moment qu'on ne l'ennuie pas. C'est le lieu où elle a grandi, expérimenté et finalement, le lieu qui l'a éduqué tel une mère protectrice. Une chose est certaine: elle aime cette ville, et fera en sorte de ne plus jamais la quitter.

Mon Dieu? Les sorciers existent? Ils sont partout, peuvent être nos amis, nos voisins..?
Eh oui. Tout cela est bien vrai.
Lorsque la révélation a eu lieu, Victoire s'est retrouvée en première ligne avec le restant de la fratrie Weasley. Avec un nom de famille pareil, il est difficile de se cacher des moldus un peu trop curieux sur leur condition, étant donné que Joanne a décidé de parler de sa famille, de ses cousins, mais également d'elle-même dans ses romans! C'est pourtant ce qu'elle essaie de faire depuis des années, mais elle arrive à tromper les radars avec plus ou moins de succès. Elle se fait discrète en toutes circonstances, se fie le moins possible à la magie et peut parfois changer de nom afin de vivre sa vie tranquillement au coeur du monde moldu.

Le jour où elle a compris la façon dont la plupart des Wizzggles avaient été contaminé est resté gravé en elle. Le fait que ce syndrôme de transmission soit également une MST l'a profondément choquée, et elle se dit qu'à l'heure actuelle, moins de Wiggles sont créés à cause de cet électrochoc général. Parce que pour être honnête, il faut être idiot pour en créer un de façon totalement consciente (sauf exceptions des Cracmols, bien sûr)!
Quant aux Wiggles en eux-mêmes... Elle n'en pense pas grand chose. En vérité, elle les plaint. Eux qui vivaient souvent une vie normale et rangée se retrouvent avec une étincelle de pouvoir qui s'est échappé d'un sorcier, et eux se retrouvent avec ça sans savoir quoi en faire. Les Wizzgles deviennent plus ou moins des parias, et c'est vraiment triste à voir, ou même à imaginer.

Il est vrai que depuis son retour de Beauxbatons, Victoire a remarqué une ambiance légèrement plus sombre à Londres, que ce soit dans les quartiers sorciers ou moldus. Il y a plus de quartiers craignos, plus de trafics sous le manteau et le marché noir de dragées surprises et de cartes de Chocogrenouilles fleurit... Mais elle s'en fout royalement. La drogue, les sucreries, les orgies, ce n'est pas pour elle. Elle est danseuse et amoureuse, oui ou mer**?
Quant aux Mangemorts eux-mêmes. S'ils ne la dérangent pas, ce n'est pas son problème. Les marionettes de Voldemort sont condamnées à faire le larbin durant des années sans aucune reconnaissance, tout ça à cause d'une petite bêtise ou d'une remarque mal placée. Elle a elle-même quelques amis Mangemorts, à qui elle demande régulièrement des services. Et franchement, ils l'aident sans problème.
Quant au grand Manitou, à Super Gourou, à Voldychou... Faut être honnête, il a la classe. Avec des conditions physiques aussi handicappantes que les siennes, il est arrivé à créer un réseau puissant tournant autour de son petit doigt. Et ça, c'est cool. Donc Victoire, qui ne peut s'empêcher de ressentir un peu de compassion face à ses problèmes visibles qui le rendent presque ridicule, lui envoye régulièrement des petits cadeaux, pour lui témoigner qu'il est possible de se faire aider dans un combat aussi difficile qu'est la greffe d'un appendice nasal pour sorcier mafieux. Ce qui était au début innocent est devenu un petit jeu du chat et de la souris, où ses complices mangemorts l'aident à mettre ses cadeaux dans les endroits les plus incongrus de sa résidence. La question actuelle est: Qui de Victoire ou de Voldemort va rendre l'autre cinglé en premier? Les paris sont ouverts!

Tu avais trois ans à ce moment. Les parents du petit garçon étaient décédés quelques mois auparavant, et depuis, il vivait comme un roi, se baladant chez sa grand-mère et son parrain à sa guise. Lorsque tu allais chez oncle Harry, tu savais que tu allais te prendre une raclée, et redoutais ces brunches dominicaux plus que tout au monde.

Tu faisais la fierté de tes parents à l'époque. Fleur prenait soin de t'habiller telle une petite poupée et avec elle, tu ressemblais plus à une candidate de Toddlers & Tiaras qu'autre chose. C'est peut-être à cause de ces vêtements trop encombrants que tu mordais la poussière, finalement. Alors, tu décidas quelque chose pour la première fois de ta vie, aussi insignifiante soit elle. Tu t'habillais selon tes goûts et tes humeurs, et non plus pour faire plaisir à la femme qui t'avais mise au monde. Et avec des jeans et des baskets, le combat était tout de suite plus équitable.

Au début, vous n'étiez que deux. Puis James et Rose naquirent la même année. Après eux, une ribambelle de petits Weasley apparurent pour remplir l'arbre généalogique déjà bien encombré de la famille. Les dimanches n'étaient plus des calvaires, mais des jours remplis de rires et de bonne humeur où vous jouiez sans vous soucier de rien.



A sept ans, tes pouvoirs magiques s'étaient déjà manifestés de façon assez... Originale. La première fois, tu avais mis le feu à la robe de ta mère juste avant un gala et la seconde fois, c'était encore plus fort; la totalité des vitres du rez-de-chaussée avaient explosé suite à un caprice de ta part. Même si la robe et les fenêtres avaient coûté une fortune à remplacer, Bill et Fleur Weasley te voyaient comme un diamant inestimable.

Tous les mois durant la pleine lune, des cris inhumains te réveillaient en sursaut. On aurait dit ceux d'un chien enragé qui priait de retrouver la liberté. Tu compris vite, grâce à quelques explications, que le chien hurlant à la mort tous les vingt-huit jours était en fait ton père qui, à cause d'une morsure, était condamné à se transformer en loup-garou s'il oubliait de prendre une potion à l'aspect douteux et à l'odeur immonde. Il n'était pas un cas isolé; le père de Teddy était comme lui avant de mourir.

Ce samedi soir, toute la famille était présente dans la Chaumière aux Coquillages et tout le monde dormait paisiblement. Un craquement te réveilla en sursaut. La condition que ton père possède avait réveillé une peur presque bestiale en toi. La peur d'être comme lui, d'avoir hérité de ses gênes et de te transformer, toi aussi, en chiot apeuré et sanguinaire. Cette fois-ci, tu entras dans la chambre des garçons et allas chercher Teddy, pour que lui aussi se cache au cas où il ait le même problème. Vous vous cachâtes au fond de ton lit, et tu replias les couvertures en espérant qu'aucun de vous ne se transformerait. "Victoire..." "Quoi?" "Pourquoi tu fais ça?" "Pour ne pas devenir un loup-garou. Et tu devrais faire pareil." "C'est stupide!" "C'est PAS stupide! Tu veux devenir un loup toi aussi?" "C'est pas ça. C'est juste que... La pleine lune, c'est dans six jours."

Ah.



Sérieusement. Tu en avais accepté, des idées de ta mère. Mais alors celle-là... Elle voulait que tu n'ailles pas avec tes cousins à Hogwarts, l'école de sorcellerie de ton pays, mais dans cette école d'idiots où la bienséance magique était obligatoire? Et puis quoi encore?

Tout ça parce que Madame Maxime, la géante qui mettait un renard empaillé en guise d'écharpe, lui avait envoyé une invitation pour son enfant. Et bien sûr, il fallait que tu te plies à l'envie de ta mère, qui voulait te voir loin de "ce pays de rosbifs décadents". Tu as dû rencontrer la directrice de cet établissement et franchement, elle te fit flipper dès le premier instant. Pas étonnant que les élèves s'y tenaient à carreaux! Imaginez s'ils se prenaient une baffe, ils valsaient à trois mètres de là sans avoir à utiliser un Rictusempra, les pauvres!

Après quelques disputes, tu te plias au choix de ta mère et délaissas le Royaume-Uni pour partir dans le pays de ta mère. Il est vrai que la France est un beau pays... Mais qui a dit aux sorciers du pays d'aller se terrer dans les montagnes pour que leurs élèves se gèlent les pieds? Toi, qui était assez frileuse de nature, n'ayant pas assez de manteaux pour supporter le froid durant l'hiver, tu te retrouvais dans ta propre définition de l'Enfer!

Tu fus répartie dans l'équivalent de Ravenclaw, et tu pus prendre un loisir supplémentaire pour ajouter quelques heures de travail en plus dans ton emploi du temps déjà bien rempli. Bien évidemment, ton choix se porta directement sur la danse classique, loisir que tu pratiquais depuis des années et qui prenait une grande partie de ton temps et de tes pensées. Après quelques mois passés au sein de Beauxbatons, quelques gamins nés-moldus commençaient à murmurer dans ton dos, sans que tu ne saches vraiment pourquoi. Cela dura jusqu'à la fin de ta seconde année, où la bombe fut larguée lors d'un dîner dans le réfectoire. "C'est bien toi Victoire?" "Oui, pourquoi?" "Est-ce que ton nom de famille est vraiment Weasley?" "Que je sache, oui." "Weasley, comme Ron Weasley?" "Mais c'est quoi cette question?" "Tu connais Harry Potter? Et aussi Percy Weasley? Et Fred? Et George?" "Oui, je les connais tous! C'est mes oncles. T'as un problème avec ça?" "OH MON DIEU! Vous existez vraiment!" La jeune fille qui venait de te faire subir un interrogatoire repartit en courant vers ses copines en bondissant de joie. Qu'est-ce que c'était que cette histoire?

Une amie née-moldue te raconta une histoire ahurissante. Elle avait lu une série de livres parlant d'un jeune sorcier appelé Harry Potter, qui étudiait à Hogwarts avec ses amis Ron Weasley et Hermione Granger. Comment l'auteur, qui était une simple moldue, aurait pu découvrir l'existence de ses oncles et de sa tante? Et surtout... Pourquoi écrire sur sa famille? Cette même amie te ramena les quatre premiers tomes du roman au début de votre troisième année, et tu te plongeas dedans comme un assoiffé irait se plonger dans l'eau empoisonnée d'un lac. C'était malsain, mais également drôle. Ton livre préféré reste encore le quatrième, où ta mère apparait comme l'héroïne de son école... Tu ne savais pas ce qu'avait pris cette JK Rowling, mais une chose était sûre. C'était de la bonne, et elle a été trop égoïste pour faire tourner!



Ah, l'adolescence... Les premières douleurs, les seins qui poussent, les regards des uns qui se tournent vers le sexe opposé... Toi aussi tu as vécu ça. Même si ta croissance fut légèrement différente de celle de tes autres amies filles. Tout d'abord, tu pratiquais la danse au moins deux heures par jour, ce qui retarda légèrement ta croissance. Cela n'empêchait pas les garçons de tourner autour de toi tel des mouches sur un pot de miel. Cela attisait la jalousie de cetaines filles, qui ne comprenait pas pourquoi la gamine plate et un peu originale que tu étais attirait autant. La réponse était simple; tu avais quelque chose qu'elles n'avaient pas. Malheureusement, tu avais hérité de la condition génétique de ta mère, qui était hybride Vélane. C'était quelque chose que tu n'avais jamais demandé et qui, honnêtement, te faisait chier. Les garçons étaient pour toi des amis, des personnes asexuées, un peu comme tes cousins. Le fait qu'ils puissent te porter de l'intérêt était alors incensé.

Et puis... Certains d'entre eux n'étaient pas intéressés par toi à cause du physique ou de la personnalité. Oh non. Le seul nom Weasley rendait les enfants nés-moldus, ceux qui avaient lu les bouquins, très curieux, étant prêts à l'étudier sous toutes les coutures pour savoir si tu ressemblais à un des personnages de Joanne la Fourbe.

Malgré ces légers encombrements, tu passas le reste de ta scolarité sans faire de vagues. Pour les enfants ayant grandi dans le monde sorcier, tu étais une fille très jolie, mais un peu trop discrète et originale, avec ces chaussons de torture bizarres dans ton sac. Tu passas ton baccalauréat sorcier et quittas enfin cette France de malheur pour dans ton beau pays tout plat où le climat était doux.



Après être rentrée en Angleterre, tu retrouvas la plupart de tes cousins lors des vacances d'été. Ils étaient tous étudiants à Hogwarts, vivant leurs vies tels des enfants sans problème. Et puis il y avait Teddy, qui avait gradué et qui s'était retrouvé de force à l'Université Magique... Attendez, quoi? Il existait une université obligatoire en Angleterre? C'était quoi ce délire? Toi qui pensais avoir enfin terminé tes études et te consacrer pleinement à la danse, tu te foutais le doigt dans l'oeil jusqu'à la cheville. Tu n'avais pas signé pour ça toi!

Malgré le fait que tu devais étudier dans cette institution qui était censée - oui, censée, faut pas abuser non plus... - vous remettre dans le droit chemin, tu tentas de rentrer dans un conservatoire de danse, et pas n'importe lequel; l'English National Ballet. Tu entras à l'université et reçus ta lettre d'admission le même jour. A ce moment, les études devinrent superflues. Tu te baladais sur le campus en touriste, les étapes des entrechats à effectuer le soir même obnubilant ta pensée. Pour éviter les problèmes qu'il y avait eu avec les nés-moldus à Beauxbatons, tu décidas d'intégrer la troupe sous un faux nom: Minerva Prewett. Jusqu'à maintenant, personne n'a découvert ta double vie, et tu arrives à jongler entre les deux sans trop de problèmes.

Faute de mieux, tu vivais chez tes parents et franchement, c'était intenable. Aucune intimité, et la même rengaine tous les soirs. Tes parents avaient déjà décidé ton futur métier; briseuse de sorts à Gringotts, pour rester dans la même compagnie qu'eux. Et puis quoi encore? Tu leur parlais de la danse, de ta passion et de tes pratiques intensives, mais ce qui rentrait d'une oreille avait l'air de ressortir par l'autre. Tu tins durant une année entière, puis explosa comme un préservatif rempli d'eau. La raison? La film préféré de ta mère.

Fleur avait un rituel annuel. Chaque 17 décembre, anniversaire de sortie du film La Boum, elle sortait une vieille télévision de la maison, la branchait avec difficulté et sortait la cassette vidéo pour regarder ce chef d'oeuvre du cinéma français. Enfin chef d'oeuvre est un bien grand mot. Tu n'en pouvais plus et, suite à une conversation où tes aspirations fut totalement ignorées encore une fois, tu ne pus t'empêcher de dire ce que tu pensais en touchant directement la corde sensible. "Vous allez m'écouter, oui ou merde?" "Ca ne va pas ma chérie?" "Non, ça ne va pas! Pourquoi vous ne vous rendez pas compte que je ne veux PAS de votre métier de planqué dans une banque?" "Ce métier est sûr, il n'est pas aussi horrible que danseuse..." "Hé, qui m'a mis dans des cours de danse à 5 ans? C'est vous que je sache." "Tu travailleras quoi, 10 ans? Et après tu seras à la retraite?" "En gagnant plus que vous durant toute votre carrière. Et puis, ça me regarde si je ne veux pas vivre dans le confort." "Vous savez quoi? Discutez-en entre vous. Moi, j'ai autre chose à faire." "Ah non!" "Maman, reste assise. Tu ne vas pas quitter cette table pour aller regarder cette merde!" "Pardon?" "Papa et moi on se retient depuis des années pour ne pas te dire que ta merde sur cassette est juste un exutoire pour adolescentes frustrées qui ne peuvent pas baiser! Grandis un peu maman!"

Tu n'avais jamais vu Fleur dans cet état. Qui a dit que les hybrides Vélanes n'avaient plus la furie de leurs ancêtres? Celui qui a avancé cette théorie était soit un idiot, soit un mythomane. En une heure, tu te retrouvas en dehors de la maison, tes affaires contenues dans une petite valise grâce à un sort de réduction. Ta réaction sur le coup fut...

Ah. La même qu'il y a onze ans, dans ce lit avec Teddy.



Pendant un temps, tu squattais sur le canapé de Teddy, faute de mieux. Puis tu te mis en quête d'une colocation. Celle que tu trouvas fut avec... Des Moldus. Papy Arthur avait raison, ils sont vraiment malins. Ils ont une télé, ce qui est encore mieux que la radio. Un lave-vaisselle qui lave les assiettes à ta place, un micro-ondes pour faire chauffer les plats encore plus vite qu'avec la magie... Tu es devenue accro à certains de ces produits, qui ont remis en question certains usages inutiles de ta baguette.

Tu étais avec tes colocataires lorsque la nouvelle éclata aux informations. Tu avais 23 ans, et la nouvelle te glaça le sang. Le monde sorcier était révélé au grand jour, alors que vous aviez passé plus de 400 ans à vous cacher. Pire, il existait des moldus qui, au contact d'un sort ou d'une sécrétion sorcière, avaient commencé à développer une sorte de magie. Comme si elle était ancré en eux, et que ce simple contact l'avait déclenchée, un peu comme un réflexe animal. Alors comme ça, même des moldus sans histoires avaient le potentiel d'être sorciers?

Toutefois, cette révélation ne changea pas vraiment ta vie. En effet, les moldus que tu connaissais ne t'imaginaient pas sorcière. De plus, le fait que le transfert de magie soit une MST ne t'affectait pas, étant donné que Teddy et toi étiez en couple depuis plus d'un an à cette époque. Tu continuais ta vie - enfin, TES vies - comme si de rien n'était, essayant d'aider un Wizzggle perdu de temps en temps. Après tout, ils n'ont rien demandé, les pauvres...



La première fois que tu entendis parler de Lord Voldemort, tu éclatas de rire. "C'est l'histoire d'un mec nez sans nez et pâle comme la Lune qui, pour se venger de la vie, devient directeur d'une mafia qui deale des fausses cartes Chocogrenouilles et des Dragées Surprises." C'est pas hilarant comme idée?

Bon. La réalité est tout autre. Il a de nombreux cadres et autres larbins, qui l'aident à gérer un empire qui s'étend dans toute l'Europe. Si ça c'est pas flippant... Il les appellent les Mangemorts... En fait, Voldemort, il ne fait pas que créer et revendre de la drogue, il en a consommé aussi pour trouver un nom pareil! Et il en a sûrement filé à la moldue pseudo écrivain pour faire ses bouquins perchés! Tout s'expliquerait!

Sérieusement. Il a réussi à rendre Londres craignos à lui seul. Si ça c'est pas un exploit... Tu plains un peu ses pauvres larbins, en vérité. Ils n'ont pas beaucoup d'occasions de se sentir libres, face à un sociopathe pareil. Il est vrai que tu as charmé l'un d'entre eux sans t'en rendre compte il y a quelques mois et maintenant, tu comprends que les Mangemorts ne sont pas aussi méchants que ça. Et puis, il y a d'autres preuves. Comme ton complice.

Oui oui. Tu as un complice Mangemort.

Han le choc! Comment les Weasley peuvent-ils s'associer à des gens pareils? Vu la situation, tu es dans l'obligation d'en avoir un. Lui et toi envoyez discrètement des petits cadeaux gentils à Voldemort, même si à l'heure actuelle, tu sais pertinemment qu'il les déteste. Mais ce n'est pas ça qui t'arrêtera. La prochaine étape? Des lunettes de soleil et une collecte spéciale afin de pouvoir lui payer une greffe du nez qui, comtrairement à la précédente, fonctionnerait. Parce que bon, un nez aussi... Inexistant que le sien, ça doit être handicapant dans la vie de tous les jours, non? Il a bien besoin d'AGNES (Association de la Greffe du Nez Effectuée avec Succès) dans cette situation!

Tout est parfait (et plus encore), donc tu es validée   Je t'invite à aller recenser ton avatar ici ainsi que ton métier ici. N'oublie pas également de passer par là pour obtenir tes points de compétences. J'espère que tu te plairas bien ici !